Amandine Beyer, star du violon baroque
en concert à Liège
Elle est l’une des nouvelles vedettes du violon baroque : Amandine Beyer vient pour la première fois à la Salle Philharmonique de Liège avec son ensemble Gli Incogniti.
Réputé pour ses bizarreries harmoniques autant que pour ses mauvaises manières, Nicola Matteis est l’auteur d’un recueil pour guitare intitulé The False Consonances of Music (1682). Amandine Beyer lui rend ainsi hommage avec ce concert intitulé « Les fausses consonances de la mélancolie » lors duquel elle met son œuvre en parallèle avec celle, bien plus connue, d’Henry Purcell, comme elle s’en explique dans l’interview ci-dessous. L’occasion parfaite de faire connaissance avec cette musicienne passionnée, qui s’apprête à fêter les dix ans de son ensemble (ici composé de cinq musiciens) et a conquis le cœur du public et de la critique : en témoignent notamment ses enregistrements (Les quatre saisons de Vivaldi, des Concerti grossi de Corelli ou ces Fausses consonances de la mélancolie, chez Zig-Zag Territoires), multi-récompensés.
photo Oscar Vasquez |
Star du
violon baroque, Amandine Beyer est pour la première fois à Liège, avec
son ensemble Gli Incogniti, pour révéler la musique instrumentale de
Nicola Matteis. Ce concert de la série « Musiques anciennes », proposé à
la Salle Philharmonique de Liège le dimanche 28 février à 16
heures, permettra de découvrir ce guitariste, violoniste et improvisateur
hors pair, né probablement à Naples, installé en Grande-Bretagne vers 1670, qui
initia les Anglais au style instrumental italien. Ses compositions, souvent très
brèves, intuitives et originales, permettent à l’interprète de les associer en
des « suites de danses » chaque fois renouvelées, sans nuire à la cohérence et à
l’originalité du propos.
Réputé pour ses bizarreries harmoniques autant que pour ses mauvaises manières, Nicola Matteis est l’auteur d’un recueil pour guitare intitulé The False Consonances of Music (1682). Amandine Beyer lui rend ainsi hommage avec ce concert intitulé « Les fausses consonances de la mélancolie » lors duquel elle met son œuvre en parallèle avec celle, bien plus connue, d’Henry Purcell, comme elle s’en explique dans l’interview ci-dessous. L’occasion parfaite de faire connaissance avec cette musicienne passionnée, qui s’apprête à fêter les dix ans de son ensemble (ici composé de cinq musiciens) et a conquis le cœur du public et de la critique : en témoignent notamment ses enregistrements (Les quatre saisons de Vivaldi, des Concerti grossi de Corelli ou ces Fausses consonances de la mélancolie, chez Zig-Zag Territoires), multi-récompensés.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire