Bienvenue

Bienvenue sur ce modeste blog dédié à l'information artistique et culturelle dont nous avons connaissance.

Nous recevrons avec plaisir toute information concernant un évènement que vous organisez, un livre que vous venez d'écrire, un CD que vous venez d'enregistrer...

Ce blog est géré par un journaliste professionnel.








mardi 29 novembre 2011

Art visuel et sonore au Grand Hornu

A Hornu, jusqu'au 5 février 2012, le Mac's expose Baudouin Oosterlynck

Artiste du son
Dans le cadre de son cycle « Cabinet d’amateurs », le MAC’s invite Baudouin Oosterlynck, artiste du son, à investir l’aile nord du Grand-Hornu.



Né à Courtai en 1946, Baudouin Oosterlynck produit ses premières performances et installations musicales et sonores au milieu des années 1970. Depuis le début des années 1990, il imagine des «instruments d’écoute» qui, s’ils ne produisent aucun son, permettent la découverte de sonorités insoupçonnées. Pour son exposition au Grand-Hornu, Baudouin Oosterlynck propose d’entendre le monde différemment en invitant l’auditeur à manipuler quelques-unes de ses « prothèses acoustiques » dont les formes particulières en étonneront plus d’un. La manifestation est complétée par quelques dessins de l’artiste.



Un livre pour entrer dans cet univers visuel et sonore

Le Fil Jaune


Le Fil jaune est la première monographie significative consacrée à l’oeuvre singulière de Baudouin Oosterlynck, artiste du son à l’écoute du monde et du silence. Son travail pionnier se situe à la frontière de l’art visuel et de l’art sonore. L’ouvrage invite à explorer les multiples facettes d’une oeuvre qui engage une relation forte et intime avec le corps et l’espace de celui qui la reçoit. Y sont présentés ses installations et performances musicales et sonores, ses instruments muets, ses instruments d’écoute ainsi que ses dessins et notes manuscrites. Le livre édité par le MAC’s grâce au soutien de Cera Fondation propose un catalogue des pièces majeures de l’artiste avec de nombreuses notices et illustrations, accompagné d’essais critiques émanant de spécialistes, d’une biographie et d’une bibliographie.

Infos : +32(0)65/65.21.21

vendredi 18 novembre 2011

A Liège, Beethoven en trio

Les trios pour piano de Beethoven joués par 

Papavrami,Coppey et Goerner

Ce dimanche 27 novembre à 16 heures, à la Salle Philharmonique de Liège, trois chefs-d’œuvre de Beethoven seront donnés par le trio Papavrami-Coppey-Goerner.






On les connaît bien séparément à Liège : invités réguliers de la Salle Philharmonique, le violoniste Tedi Papavrami présent aux Portes Ouvertes en septembre, le violoncelliste Marc Coppey qui était au Festival « À toutes cordes » en janvier ou le pianiste Nelson Goerner qui jouait Schumann et Chopin en octobre 2010.

Pour la première fois, et pour le public de Liège, ils forment un trio pour un programme d'exception : trois trios pour piano de Beethoven, trois modèles du genre.

Et trois étapes essentielles de l'activité créatrice de Beethoven : le premier de ces trios est créé en 1795, devant son maître admiré, Joseph Haydn, quatre ans après la mort de Mozart, à l'apogée de la période « classique ».

Avec le Trio « des Esprits » (1808) on est en plein romantisme naissant. Le surnom de ce trio (« Geistertrio ») est dû à une mélodie imaginée au départ pour un chœur de sorcières jamais composé !

Enfin le Trio « Archiduc », sans doute l'archétype de la musique de chambre de Beethoven. Composé en 1811, il est dédié à l’Archiduc Rodolphe, d'abord élève de Beethoven qui va devenir son protecteur fidèle et assurer au compositeur des moyens décents d'existence à Vienne. C’est d’ailleurs avec cette œuvre que Beethoven donne son dernier concert public au piano, en 1814, la surdité lui interdisant désormais toute activité de concertiste.

Interview de Tedi Papavrami

Vous êtes à la Salle Philharmonique de Liège le dimanche 27 novembre avec un programme de musique de chambre consacré à trois trios de Beethoven. D’où vient ce choix ?

Il s’inscrit dans un projet plus vaste : l’enregistrement de l’intégrale des trios pour piano, violon et violoncelle de Beethoven avec le pianiste François-Frédéric Guy, qui sortira pour le label Zig Zag Territoires en 2013. François-Frédéric Guy enregistre depuis plusieurs années l’intégrale de l’œuvre avec piano de Beethoven ; je joue également avec lui les sonates pour piano et violon, dont nous avons donné l’intégrale à la Maison Française de Washington, du 28 au 30 octobre. Quant aux trios, nous les enregistrons avec le violoncelliste Marc Coppey.

Pour le concert de Liège, ce n’est pas François-Frédéric Guy qui sera au clavier mais Nelson Goerner, un pianiste que je connais très bien et que j’apprécie beaucoup : nous sommes collègues au Conservatoire de Genève, nous y donnerons d’ailleurs un concert en 2012.

Chez François-Frédéric Guy comme chez Nelson Goerner, il y a dans le jeu pianistique un vrai travail sur le son, une dimension très importante pour moi. Nelson Goerner joue énormément la musique de Chopin, alors que François-Frédéric Guy est plutôt dans Beethoven et Prokofiev, mais cette recherche du son est essentielle pour moi. Je me sens mal à l’aise avec certains pianistes qui développent une sonorité trop « légère ».

Avez-vous souvent l’occasion de jouer les œuvres de Beethoven ?

Pas autant que je le voudrais ! Je me sens assez à l’aise avec cette musique, mais généralement, on ne m’y associe pas. Je n’ai joué le Concerto pour violon que deux fois ; c’est pourtant une œuvre extraordinaire, mais relativement peu programmée.

Dans les trios de Beethoven, comment les trois instruments se marient-ils ?

Il existe des trios de musique plus « légère » où un instrument est soliste et les deux autres assurent l’accompagnement ou la mise en valeur du premier. Ce n’est jamais le cas chez Beethoven : piano, violon et violoncelle entretiennent un rapport équilibré. Beethoven cherche à tirer le meilleur parti des timbres. Nous proposons trois œuvres qui s’étalent sur presque 20 ans (1793-95, 1808 et enfin 1811), et nous terminons avec son dernier trio, l’un des plus célèbres : le Trio « Archiduc ».

Le Trio « Archiduc » est une œuvre extraordinaire, qui touche à l’abstraction. Une œuvre mystique, le très grand Beethoven à la fin de sa vie. En réalité, si cette œuvre connait un tel succès auprès du public, c’est vraisemblablement parce qu’elle a un surnom ! Un peu à la manière du Concerto pour violon de Berg (À la mémoire d’un ange) : voilà deux œuvres tellement compliquées, difficiles, qu’il est étonnant que tant de gens s’extasient devant elles. Leur surnom donne l’impression de mieux les comprendre… En réalité, ce Trio « Archiduc » est d’une complexité folle. Beethoven y rompt avec la tradition, établie depuis très longtemps, de composer des mouvements contrastés : ici, tous les mouvements ont le même tempo et le même caractère.

Quels sont vos projets ?

J’ai un important projet d’enregistrement de sonates françaises, un double disque qui doit sortir en 2013 chez Zig Zag Territoires, avec le pianiste Philippe Bianconi. On y trouvera les grandes sonates pour violon et piano de Franck, Saint-Saëns, Pierné, Debussy, Ravel, Fauré.

Infos : +32 (0)4 220 00 00


jeudi 17 novembre 2011

Musiques sans frontière à Liège

Liège « à travers sons »
De Cluj à Istanbul, l’ensemble Zongora voyage dans les Balkans


Sous-titrée « les musiques pas si classiques », la série « A travers sons » (4 concerts cette saison à la Salle Philharmonique de Liège) rassemble des artistes de tous horizons : la musique sans frontières, du cabaret parisien (27/01/2012) au tango (23/03/2012) en passant par le duo d’accordéonistes Didier Laloy et Tuur Florizoone (24/05/2012).
Pour ouvrir cette nouvelle série, la Salle Philharmonique accueille l’un des groupes les plus solides de la musique des Balkans (rendue célèbre par les films de Kusturica) : Zongora. Six musiciens belges, roumains et bulgares, qui jouent la musique de Transylvanie, de Roumanie, d’Istanbul, mais aussi des musiques bulgares ou yougoslaves. Forts de leurs voyages dans ces pays, ils en saisissent aussi toutes les subtilités et les différences, et partagent cet esprit où les larmes et la fête se mélangent souvent, et où la musique est toujours au cœur du quotidien.
Au départ formation en trio, fondée en 2006, Zongora s’est élargi depuis 2009 au sextuor, avec Nicolas Hauzeur (violon), Benjamin Clément (guitare), Javier Breton (guitare basse), Niki Alexandrov (percussions et batterie), Mladen Mladenov (clarinette) et Relu Merisan (cymbalum). Son premier album, Doveriata, est paru en avril 2011 (Muziekpublique).
Infos : +32 (0)4 220 00 00

mercredi 16 novembre 2011

Un festival tout à Brahms

A Bruxelles, un festival Brahms


Du 23 au 27 novembre : Helmut Deutsch, Abdel Rahman El Bacha, José van Dam, Louis Lortie, Augustin Dumay, Jian Wang, Frank Braley, Gary Hoffman...


Après Chopin en 2010, la collaboration, à Bruxelles, entre la Chapelle Reine Elisabeth, l'orchestre philharmonique de Bruxelles et Flagey se poursuit en 2011 avec un festival consacré à Johannes Brahms. Le thème de « la transmission » sera le fil conducteur : ou comment des musiciens dont la réputation n’est plus à faire (Helmut Deutsch, Abdel Rahman El Bacha, José van Dam, Louis Lortie…) guideront les jeunes et talentueux solistes programmés à leurs côtés. Et le défi est de taille : peu de grands chefs d’œuvre de Brahms manqueront à l’appel. L'orchestre en résidence de Flagey, le Brussels Philharmonic sera de la partie pour les grands rendez-vous symphoniques.
Chaque concert au Studio 4 sera précédé d’un programme de musique de chambre concocté par les solistes de la Chapelle Reine Elisabeth.

Les inmanquables:

Mercredi 23, 20h15: Deux concertos pour le prix d'un! Celui pour violon, interprété par Nikita Borisoglebsky et le premier pour piano, par El BachaJeudi 24, 20h15: Lieder avec José Van Dam
Vendredi 25, 20H15 :
Brussels Philharmonic, Michel Tabachnik conductor, Dimitris Saroglou piano, Christia Hudziy piano, Liya Petrova violin, Jian Wang cello

Samedi 26, 20h15: musique de chambre mêlant maîtres et jeunes solistes (le quintette!)Dimanche 27, 15h: Concert de clôture avec Louis Lortie et le concerto n°2 de Brahms

jeudi 10 novembre 2011

Made in America en musique

Orchestre Philharmonique Royal de Liège

Le rêve américain avec Barber, Korngold et Dvorak

Le cinéma a abondamment utilisé l’Adagio pour cordes de Samuel Barber, un des premiers compositeurs nés sur le sol américain.

L’Amérique, ce « nouveau monde », que l’Europe musicale du XIXe siècle puis du XXe siècle découvre par plaisir ou nécessité. Dvorak, le Bohémien, accueilli en héros à New York en 1892 – il écrira non seulement la Symphonie du « Nouveau Monde » mais aussi une Suite américaine. Et Korngold, le compositeur viennois prodige, obligé de fuir le nazisme et de se réfugier à Hollywood – où il écrira les plus belles pages de la musique de film, qui dédie au grand Jascha Heifetz son Concerto pour violon en 1945.

L’Orchestre Philharmonique Royal de Liège propose ce programme « Made in America » les 17 et 18 novembre à 20 heures, au Palais des Beaux-Arts des Bruxelles puis à la Salle Philharmonique de Liège. L’OPRL est dirigé par le chef vénézuélien Domingo Hindoyan. Au violon, Alina Pogostkina, 1er Prix du Concours Sibelius 2005.

Rappelons également que le Concerto pour violon de Korngold vient de sortir au disque avec Laurent Korcia et l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège dirigé par Jean-Jacques Kantorow (Naive, sortie le 7 novembre 2011).

A ne pas manquer, le samedi 19 novembre à 16 heures, « Les samedis en famille » autour de l’Adagio de Barber et de la Suite américaine de Dvorak. Les enfants peuvent venir déguisés en cow-boys ou en Indiens !

Ce concert fait partie d’« Orchestres en fête », une manifestation de l’Association Française des Orchestres qui propose plus de 160 événements pour tous les publics du 18 au 27 novembre.




Alina Pogostkina

Née en 1983 à Saint-Pétersbourg, Alina Pogostkina s’établit en Allemagne en 1992 et étudie au Conservatoire de Berlin. Lauréate du Concours Reine Élisabeth de Belgique (2001) et du Concours d’Indianapolis (2002), elle remporte en 2005 le Premier Prix du Concours Sibelius d’Helsinki.

Carrière. En juillet 2010, elle a participé avec Lisa Batiashvili et Baiba Skride à un « Violin Summit » organisé au Festspielhaus de Baden-Baden avec le Mahler Chamber Orchestra. Au printemps 2011, elle a joué en tournée au Japon avec l’Orchestre Symphonique de la Radio NHK et Jonathan Nott. Elle est l’invitée de nombreux festivals (Schwetzinger Festspiele, Schleswig-Holstein, Aspen Festivals…). Passionnée de musique de chambre, Alina Pogostkina joue avec Yuri Bashmet, Gidon Kremer, Menahem Pressler, Maxim Rysanov, Joshua Bell…

Stradivarius. Alina Pogostkina joue un Stradivarius de 1709 qui lui est prêté par la Deutsche Stiftung Musikleben.

Liège. En janvier 2011, Alina Pogostkina participait au Festival « À toutes cordes » de l’OPRL. En novembre 2008, elle interprétait The Lark Ascending de Vaughan Williams et la Romance pour violon n° 2 de Beethoven à Liège, sous la direction de Paul Daniel.

Domingo Hindoyan, direction

Né à Caracas, Domingo Hindoyan entre à six ans à l’Orchestre des Jeunes du Venezuela El Sistema (visant l’éducation des enfants défavorisés). Après des études de violon et de piano au Conservatoire de Caracas, il se perfectionne à l’Académie de violon d’Amérique latine au Venezuela, puis en Suisse. Diplômé en direction d'orchestre au Conservatoire de Genève, il suit les cours de Bernard Haitink à Lucerne et Jesús López Cobos à Lausanne. En 2010, Domingo Hindoyan reçoit le 2e prix au Concours de Cadaqués. En 2009, il obtient le 4e prix au « Malko International Conducting Competition ». Il est également demi-finaliste au Concours des jeunes chefs d’orchestre de Besançon (2009) et finaliste au Concours International pour les chefs d'opéra Jesús López Cobos au Teatro Real de Madrid (2008). Il vient tout juste d’être sélectionné par la prestigieuse Allianz International Conductors Academy pour travailler avec l’Orchestre Philharmonique de Londres et l’Orchestre Philharmonia sous la houlette de chefs tels que Esa-Pekka Salonen et Vladimir Jurowsky.

Domingo Hindoyan a déjà dirigé de nombreux orchestres à Madrid, Bâle, Lucerne, Lausanne, Berlin, Milan. Il est chef invité de l'Orchestre des Jeunes du Venezuela El Sistema. En juin 2011, il a fait ses débuts à la tête de l’Orchestre de la Suisse Romande… Sa première production d’opéra, Pedro Malazarte de Camargo Guarnieri, au Festival de Feldkirch 2011, dédié cette année à la musique latino-américaine, a reçu un bel accueil.

Depuis 2006, Domingo Hindoyan joue en outre dans les pupitres de violons du West-Eastern Divan Orchestra créé par Daniel Barenboim et Edward Said, projet qui réunit des musiciens israéliens et arabes. Il travaille aussi régulièrement la direction d’orchestre avec Daniel Barenboim à Berlin et Milan. En mars 2010, il a été l’assistant de Claudio Abbado pour ses concerts avec l’Orchestre Simon Bolivar.

Liège. En novembre 2010, Domingo Hindoyan dirigeait l’OPRL pour la première fois pour un concert « L’Orchestre en famille ». En mai 2011, il dirige des œuvres de Franck, Saint-Saëns et Ravel. En octobre dernier, il a dirigé l’orchestre pour plusieurs concerts à Liège et à Bruxelles (Lekeu, Gershwin, Rimski-Korsakov ; Liadov, Sibelius, Tchaïkovski, Bernstein).

Infos : 32 04 220 00 00

mardi 8 novembre 2011

Jazz à Stavelot

Par le son et l'image, Stavelot va vibrer jazzy !

Un très varié 12e festival de jazz
dans les Ardennes belges !

Ces 18 et 19 novembre prochains, le Centre culturel de Stavelot va vivre la 12e édition de son festival de jazz.



Un programme riche de musique mais aussi d'art pictural qui prendra place dans les magnifiques caves voûtées de l'ancienne abbaye stavelotaine :

Vendredi 18 novembre 2011 à 20h

Raf Debacker trio (B) avec Raphaël Debacker : claviers, Cédric Raymond : basse , Lionel Beuvens : percussions

Résolument contemporain, le projet « jazz-soul » du Raf Debacker trio tente une approche moderne d’une musique mélangeant les racines profondes du Jazz et la musique des années 60 et 70. Influencés par des musiciens comme Ray Charles, Les McCann, Eddie Harris, Cannonball Adderley, Bobby Timmons mais aussi John Scofield, Martin Medeski and Wood, Otis Redding, les Headhunters et bien d’autres encore, le trio propose un répertoire constitué en grande partie de compositions originales traitées dans un univers sonore singulier, organique…

Suivi de The Sidewinders (B) avec Michel Paré : trompette, Thomas Champagne : sa x, Eve Beuvens : piano, Nicholas Yates – contrebasse, Lionel Beuvens - batterie

Ce quintet a été monté par Thomas Champagne et Nicholas Yates, déjà acolytes en trio.
Le groupe se promène dans les morceaux de Wayne Shorter, Lee Morgan, Hank Mobley, les Jazz Messengers et plein d'autres.
Pleine d'énergie, cette musique vous invite à voyager dans les années 50 et à redécouvrir un style chaleureux, festif et au coeur du Grand Jazz qui marqua les décennies suivantes.

Samedi 19 novembre 2011 à 20h

Sweet System (F) avec Amanda Fahey, Deborah Benasouli, Martineke Kooistra : voix, Rémi Toulon : piano , Jean-Luc Arramy : contrebasse , Robert Meniére : batterie

Three swinging ladies à la présence explosive, glamour et drôle ! Les trois chanteuses, lauréates du Grand Prix des Révélations Jazz à Juan, signent des arrangements jubilatoires, audacieux, aux rythmes inventifs, laissant apparaître leurs multiples influences dans les harmonies vocales. Du swing des années 30-40, leur répertoire se dirige doucement vers un jazz plus moderne tout en gardant un bon pied dans le swing.

« Un véritable all-stars de musiciens. Les chanteuses confèrent une nouvelle jeunesse aux standards avec dynamisme, humour et un swing sans faille. Elles interprètent joliment les ballades, et dans les thèmes up-tempo… elles explosent carrément ».

C’est une première en Belgique… et c’est à Stavelot !

Côté pictural, rendez-vous est proposé avec l'illustrateur et graphiste Philippe Debongnie. En janvier 2011, il a décidé de mêler deux de ses passions et lance le blog "Jazz and Draw" où il présente les travaux de différents illustrateurs. Une manière différente de visiter ou revisiter le jazz en image.
L'illustrateur bruxellois Blaise Dehon exposera également ses dessins où le jazz est également présent.


Par l'image et le son, de quoi vibrer jazzy à Stavelot !

Infos : 080 88 05 20