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mercredi 21 décembre 2016

A Bruxelles, Strokar promeut le street art

Oeuvre de STEW inspirée de 2 photos de Fred ATAX pour STROKAR

En mai 2017, STROKAR multiplie
les initiatives pour promouvoir le street art.

Strokar est une asbl bruxelloise visant à promouvoir les collaborations pluridisciplinaires autour du « street art » dans une optique de coopération au développement.
L’association a un programme ambitieux : rien qu’en 2017, elle proposera la seconde édition de l’exposition Strokar à Bruxelles, la customisation d’un hôtel tendance récemment ouvert, six fresques murales dans la ville, un parcours d’artistes dans le quartier Dansaert connu pour ses boutiques de créateurs sans oublier l’ouverture d’une galerie d’art à deux pas du Palais des Beaux Arts.
Pour sa première édition en dehors de la Belgique, c’est à Paris que l’exposition sera accueillie du 21 septembre au 19 Novembre 2017, par le centre Wallonie Bruxelles.
 STROKARheart stroke (arrêt cardiaque) en verlan – est une initiative d’Alexandra Lambert et de Fred Atax. Elle est belge et dirige le MAD Brussels depuis 2011, après avoir développé la promotion de Bruxelles comme capitale de mode et de design au sein de Visitbrussels.
Auparavant, elle a travaillé dans la lutte contre la pauvreté au niveau du gouvernement fédéral belge. Français vivant à Bruxelles, Fred Atax est comédien, réalisateur et reporter photo. Il s’est investi au cours de ces dernières années dans différentes actions humanitaires après avoir voyagé dans plus de 100 pays. Il a grandi en région parisienne où il a pu assister dans les années 80 à l’émergence du mouvement graffiti. Ils se passionnent tous les deux pour l’expression artistique en milieu urbain.
Par le biais des événements qu’elle organise et des artistes qu’elle présente, tant en Belgique qu’à l’étranger,
STROKAR entend promouvoir le « street art » dans une approche interdisciplinaire, y associant la photographie, les arts plastiques, visuels et scéniques. Par ailleurs, l’asbl souhaite inscrire son action dans une perspective de coopération au développement, afin de promou­voir des artistes de pays émergents ne bénéficiant pas des mêmes espaces d’expression.

Concrètement,
 
STROKAR ouvrira, début mars 2017, dans le quartier du Cirque royal, une galerie concept store intitulée STROKAR AllRighT. STROKAR fera du mois de mai 2017 le « mois du street art ».
Du 10 au 26 mai à l’Espace Vanderborght, l’exposition présentera ses nouvelles œuvres collaboratives provenant du regard croisé d’une cinquantaine d’artistes de renommée internationale pour la plupart. Le 13 mai 2017, STROKAR et le JAM inaugureront leur projet commun de customisation des espaces publics de l’hôtel, qui sera encore l’occasion de découvrir de nouvelles fresques d’artistes internationaux. Toujours en mai, STROKAR organisera un parcours découverte dans une trentaine de commerces du quartier Dansaert, où seront exposées en vitrine des œuvres d’artistes participant à l’expo.
De plus, six artistes féminines sélectionnées par l’association réaliseront, grâce à la collaboration du département Culture de la Ville de Bruxelles, des fresques murales monumentales à travers la capitale.

Au travers de tous ces projets,
STROKAR assurera la promotion d’échanges avec des artistes du continent africain. Le Cap Vert sera d’ailleurs le pays invité de l’édition 2017.
Dès la rentrée, de fin septembre à fin novembre 2017, l’exposition sera invitée au
Centre Wallonie-Bruxelles à Paris. A cette occasion, STROKAR mettra à l’honneur une majorité d’artistes belges de la mouvance dans le but de les introduire ou de renforcer leur présence dans la capitale française.
Plus d'infos

lundi 19 décembre 2016

A Liège, exils et musique

Festival Exils 

7 concerts sur les traces des compositeurs interdits, exilés, déportés

L’OPRL sur les traces des musiques de l’exil lors de la Seconde Guerre mondiale, à la Salle Philharmonique, au Théâtre de Liège, à l’Université et à La Cité Miroir.

Du jeudi 2 au dimanche 5 février, le festival annuel de l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège propose sept concerts évoquant les grands compositeurs qui ont fui l’Allemagne nazie, ont vu leur musique interdite, ont défendu leur expression artistique jusque dans les camps ou ont été réduits au silence. De Chostakovitch à Korngold en passant par le jazz « dégénéré » de Gershwin, ce temps fort de la saison de l’OPRL promet des concerts touchants, interpellants, et avant tout d’une grande beauté musicale. Une façon d’éclairer notre regard sur le présent à la lumière de l’Histoire passée, de prendre une distance nécessaire loin de l’immédiateté du quotidien.
L’OPRL a souhaité sortir le Festival EXILS des murs de la Salle Philharmonique et associer le Théâtre de Liège, La Cité Miroir et les Concerts de Midi de la Ville de Liège : ils programment chacun un concert, qui s’inscrit aussi dans leur propre saison.

LES CONCERTS DE L’OPRL

Christian Arming dirige l’OPRL lors de trois concerts qui convoquent  Chostakovitch (Treizième Symphonie « Babi Yar »), Mendelssohn (Le songe d’une nuit d’été), Křenek, Hindemith, Suk et Dvořák… Pour le concert de clôture, il met à l’honneur les musiciens exilés aux états-Unis (Korngold, Stravinsky), où ils découvrent le jazz de Gershwin. Avec une pléiade d’artistes invités dont Markus Schirmer, Jodie Devos, Ralph Szigeti ou le Chœur Philharmonique Tchèque de Brno.

récitals, musique de chambre, à-côtés

Le Festival EXILS est aussi l’occasion d’inviter le pianiste Michaël Levinas en récital, la violoncelliste Emmanuelle Bertrand et le pianiste Pascal Amoyel dans un concert théâtral intitulé « Le Block 15 », mais aussi la création de « Après la fin », qui mêle poésie et musique, par Emmanuelle Cordoliani et la violoniste Stéphanie-Marie Degand. L’ensemble Het Collectief interprète notamment le  Quatuor pour la fin du Temps de Messiaen. Le Festival propose également des rencontres, une exposition de la plasticienne Marion Zylberman, et plusieurs projets pédagogiques. Il sera également largement relayé sur Musiq’3.

mercredi 14 décembre 2016

A Bruxelles, un premier festival art nouveau et art déco

Du 11 au 26 mars 2017, le Brussels Art Nouveau & Art Deco – BANAD – Festival offrira 10 adresses inédites à son programme. Succédant à la Biennale Art Nouveau et Art Déco, ce premier BANAD Festival sera, promet-on, "le rendez-vous par excellence pour les amoureux de ces deux styles architecturaux très présents à Bruxelles".

Durant les trois derniers week-ends de mars, le BANAD Festival proposera des
visites guidées d’une cinquantaine d'intérieurs exceptionnels dans les styles Art nouveau et Art Déco – et toujours habitées au quotidien.

Au programme figurent dix nouvelles demeures, qui n’ont pas participé aux Biennales passées.

Les voici regroupées d’après les week-ends où elles ouvriront leurs portes.
Les 11 et 12 mars, l’on pourra ainsi découvrir pour la première fois la maison sise au 42 rue Belle Vue à Bruxelles Elle est la première d’une suite de trois demeures conçues par Ernest Blérot, que l’architecte s’était construit pour lui-même deux ans auparavant. À noter que les occupants offriront deux concerts privés aux visiteurs. Cinq autres nouvelles adresses sont situées à Ixelles. Le Contemporary Art Brussels (CAB) est un espace d’exposition privé de 800 m2 lancé en 2012 par le collectionneur Hubert Bonnet dans un bâtiment Art Déco près des Etangs d’Ixelles. La Maison Aimable Delune, construite en 1902-1903 pour l’usage personnel de l'architecte, a été classée en 2006. L’hôtel de maître situé au 123 rue de l'Arbre Bénit était le domicile de l’architecte Paul Saintenoy. En 1897, il rénova dans un style éclectique ce bâtiment qui appartient depuis 1956 à la Mission catholique hongroise. Le Palais du Congo, est un immeuble à appartements de style Art Déco, construit en 1930 par et pour l'architecte et promoteur immobilier Jean-Florian Collin. La maison Watteyne, est une maison bourgeoise Art nouveau, d’une composition asymétrique remarquable, conçue par architecte Franz Tilley en 1901.

Pour les
18 et 19 mars, le BANAD Festival a déniché une nouvelle adresse à Saint-Gilles : la galerie Pascal Polar, dans un bâtiment de cinq étages de style Art Déco.

Les
25 et 26 mars, trois autres nouvelles demeures offriront leur intérieur au regard du public. Tout d’abord la maison construite par E. Van Lerberghe à Schaerbeek, avec sa logette en bois caractéristique en façade. À Woluwe-Saint-Lambert, c’est la Résidence Insula, un immeuble à appartements moderniste de 1935 pour lequel l’architecte Georges France s’est inspiré du style Paquebot, qui ouvre les portes. Dernière nouveauté, le Résidence Palace, est un immeuble à appartements luxueux conçu juste après la Première Guerre mondiale par architecte suisse Michel Polak, qui héberge aujourd’hui l’International Press Center.

Au programme figurent également des
promenades à pied, à vélo et en bus (toujours accompagnées de guides professionnels). Durant les week-ends et en semaine, des concerts, des expositions et d’autres événements culturels seront organisés en collaboration avec des partenaires de prestige tels que Flagey, la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, la Fondation CIVA, le Réseau Art nouveau Network (RANN) et le Festival Artonov.

En outre, le Festival BANAD proposera pour la première fois un
programme spécial pour les familles. Le dimanche 19 mars, (grands-)parents et (petits-)enfants pourront participer à un jeu de pistes et à deux visites guidées spéciales (une à vélo et une à pied). Autre nouveauté : les vendredis 17 et 24 mars seront réservés à des groupes privés souhaitant visiter des intérieurs. Il est possible de réserver dès maintenant en contactant Voir et Dire Bruxelles.

Enfin, en clôture, le Festival BANAD organisera le
dimanche 26 mars la foire d’objets et le salon des restaurateurs, qui avaient rencontré un grand succès lors de la dernière biennale. Des artisans y partageront leur savoir-faire et un expert de la maison Tajan proposera une expertise gratuite des objets des visiteurs.

A Liège, des plumes et du Strauss...

Quoi de mieux que Le lac des cygnes de Tchaïkovski pour fêter le Nouvel An, le 13 janvier (pour les grands) et le 14 (pour les petits… et les grands) ? L’OPRL invite aussi l’une des plus grandes interprètes actuelles des Quatre derniers Lieder de Richard Strauss (le 13 uniquement). 2017 commence avec panache !

Pour bien commencer l’année 2017, l’OPRL met à l’honneur une œuvre scintillante aux mélodies irrésistibles, qui fera le bonheur des grands (le vendredi 13 janvier à 20 heures) et des petits (le samedi 14 janvier à 16 heures dans le cadre des Samedis en famille), à la Salle Philharmonique de Liège ! Le lac des cygnes de Tchaïkovski (1877) est le premier de ses trois ballets et rassemble tous les ingrédients d’un conte fantastique exaltant : un prince menacé par un mauvais génie, des cygnes miraculeusement changés en jeunes filles et une princesse retenue prisonnière dans le château d’un sorcier. Une histoire palpitante dont l’OPRL interprète la suite symphonique.

Brahms et Richard Strauss

En 1948, Richard Strauss livre, à plus de 80 ans, son chant du cygne : les Quatre derniers Lieder pour soprano et orchestre, conçus sur des textes de Hesse et Eichendorff. Un témoignage ultime au romantisme exacerbé, pour lequel Christian Arming invite l’exceptionnelle soprano Anne Schwanewilms, qualifiée de « l’une des meilleures interprètes d’opéras et de Lieder du romantisme tardif » (Time Out), dans lesquels elle se distingue tant sur scène et qu’au disque. Pour compléter ce concert de Nouvel An de la série « Prestige », le vendredi 13 janvier, Christian Arming a choisi un autre de ses compositeurs favoris, Johannes Brahms, et ses Variations sur un thème de Haydn.

un samedi en famille...

Pour le « Samedi en famille » du 14 janvier à 16 heures, Le lac des cygnes est interprété par l’OPRL et Christian Arming en interaction avec un support visuel, qui permet aux enfants (et à leurs familles) de suivre la narration. Avec la complicité de Vincent Delbushaye, cette séance fait revivre en musique et en images l’épopée de Siegfried, Odette et Odile.

mercredi 7 décembre 2016

A Hasselt, une galerie d'art spécialisée dans le verre

Oeuvre de Warner Berckmans. Photo : Luc Piron
Ce 1er février, ouverture de la Schiepers Gallery à Hasselt

Une galerie d'art contemporain spécialisée dans le verre


Le 1er février prochain, une nouvelle galerie d'art contemporain spécialisée dans le verre ouvre ses portes dans le centre de Hasselt. Sue Schiepers (1973), fondatrice de la galerie, jouit d'une expertise internationale dans ce secteur et souhaite proposer au marché une véritable plateforme pour l'art verrier contemporain.

Sue Schiepers a étudié l'Histoire de l'Art à l'Université Catholique de Leuven. Elle a ensuite suivi un post-graduat en Business Economics à Leuven avant de décrocher un Master en Art Business à l'Université de Manchester (en partenariat avec Sotheby's Institute of Art) ainsi qu'un Executive MBA à l'Antwerp Management School. Elle a commencé sa carrière dans le secteur économique avant de travailler pour Würth Belux, où elle était responsable de la programmmation des expositions d'art du Kunstforum Würth Turnhout. Cette expérience la décida à s'orienter vers une carrière dans le secteur culturel. Elle se lance alors comme indépendante en tant que consultante dans le commerce de l'art. Sous le nom "Schiepers Art Collections Consultancy", elle a travaillé pour différentes organisations culturelles, telles que rekto:verso vzw et ICASD vzw, où elle occupait le poste de manager pendant plusieurs années.

Aujourd'hui, c'est en lançant sa propre galerie que Sue s'investit entièrement dans sa passion. Bien qu'habitant Geel et n'étant pas originaire de Hasselt, elle choisit la capitale limbourgeoise comme lieu d'emplacement pour sa galerie d'art contemporain. En effet, ayant travaillé dans différents pays de l'Euregio Meuse-Rhin, elle réalise bien la situation stratégique de cette ville.

Le choix du secteur de spécialité de sa galerie, l'art verrier contemporain, n'a pas été laissé au hasard non plus. Son expérience en tant qu'experte du marché de l'art, mêlée à une vraie passion, la mena à choisir ce domaine encore mal connu et mal représenté en Belgique ; qu'elle découvre à travers ses expériences en tant que consultante indépendante.

Sue Schiepers ouvre la première et unique galerie belge présentant exclusivement des oeuvres d'art contemporain réalisées en verre. La galerie propose 6 expositions par an, accompagnée d'un catalogue. L'art verrier contemporain étant plus réconnu en France, aux Pays-Bas, en Allemagne ou encore aux Etats-Unis, l'ouverture de sa galerie comble un manque dans le paysage artistique belge. La galerie compte également collaborer activement avec les musées et académies belges et étrangers actifs dans ce secteur.

La première exposition, "Kennismaking I: Belgische Glaskunstenaars" (Première rencontre : artistes verriers belges) ouvre ses portes le 1er février prochain réunira les artistes suivants : Giampaolo Amoruso, Warner Berckmans, Wouter Bolangier, Alexander Ketele, Edward Leibovitz et Ilse Van Roy.


lundi 5 décembre 2016

A Liège, Clematis et Stéphanie de Failly offrent un Noel baroque

Stéphanie de Failly (c) Mailis Snoeck
L'Ensemble Clematis révèle les musiques de Noël des grands maîtres de l'Italie et de l'Allemagne. Un florilège entre joie et allégresse !

Les grands maîtres de la musique baroque allemande et italienne sont à l’honneur le dimanche 11 décembre à 16 heures, à la Salle Philharmonique de Liège, à l’occasion d’un concert de Noël qui s’inscrit dans la série « Musiques anciennes ». Créé en 2001 par la violoniste belge Stéphanie de Failly, qui invite pour l’occasion les sopranos Capucine Keller et Deborah Cachet, l’Ensemble Clematis célèbre la Nativité avec des musiques d’Allemagne et d’Italie. Sonates et motets de Sances, Frescobaldi, Biber ou Schütz dépeignent l’émotion des anges, bergers, Rois mages réunis autour de la Sainte Famille. Des images sacrées complétées par quelques mélodies profanes – comme La Monica – qui témoignent (chez Rossi ou Böddecker) de la dévotion plus spontanée du peuple.

 


vendredi 2 décembre 2016

A Thuin, le cri s'expose

Jusqu'au 18 décembre, le centre culture de Thuin Haute Sambre propose une exposition avec la photographe Lara Herbinia. Thème de l'exposition  "Le cri".


« La joie, la colère, la tristesse, la peur, la jouissance, le jeu s’expriment parfois par un cri. Mais plus nous vieillissons, moins nous osons crier. Nous nous éloignons de ce cri primal, celui qui délivre, le vrai, celui qui canalise nos forces. Cette série sur le vif se veut une mise à nu par le son. Un partage de souffle que chacun entendra avec ses yeux… » explique la photographe.




Le Centre Culturel de Thuin Haute Sambre est ouvert du lundi au vendredi de 09h à 16h

jeudi 1 décembre 2016

A Bruxelles, Bozar au coeur des musiques de dessins animés japonais

« Tokyo Heroes » © Andrew Rich (BOZAR)
« Tokyo Heroes » à Bozar avec l’OPRL

Un concert interactif pour les familles, au cœur des musiques de dessins animés japonais. Sans oublier la flûte traditionnelle et les mangas réalisés en direct.

Dans le cadre des 150 ans des relations Japon-Belgique, Bozar et l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège, en collaboration avec les Jeunesses Musicales de Bruxelles et Jeugd en Muziek, invitent les familles à un concert interactif inédit, intitulé « Tokyo Heroes », le samedi 10 décembre à 10 heures au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles. Un projet qui correspond pleinement à la politique développée par l’OPRL ces dernières années, en matière de nouvelles formes de concerts à vocation de découverte et de pédagogie.

Le Japon et ses dessins animés, avec leurs héros téméraires et leurs couleurs magiques, font partie de notre imaginaire ! « Tokyo Heroes » fait découvrir à ce public familial des musiques symphoniques composées pour des films, dessins animés et jeux vidéos japonais (Mon voisin Totoro, La Légende de Zelda, Le château ambulant, etc.), mais aussi tout un pan de la culture japonaise, notamment grâce à la participation d’Horacio Curti, interprète de flûte shakuhachi, dans du répertoire traditionnel. Des dessins de l’illustratrice de mangas Yuki Shirono sont projetés en temps réel sur grand écran.

Grâce à la collaboration avec les Jeunesses Musicales et Jeugd en Muziek, ce concert se veut également interactif : en chantant, frappant des mains et jouant du tambour, tous peuvent participer activement au concert avec l'Orchestre. Une expérience inédite !




A Spa, Susanna Nicchiarelli tourne "Nico 1988"


A Spa, le Musée de la Ville d'Eaux, connu également sous le nom de Villa royale, a été le théâtre du tournage de quelques scènes d'un film réalisé par l'italienne Susanna Nicchiarelli.

L'équipe de cette dernière est à pied d'oeuvre, actuellement, dans l'Est de la Belgique, tournant à Malmedy, Spa et bientôt à Liège (Seraing) dans le cadre d'un biopic consacré à une icône de la musique rock : la chanteuse allemande Nico, connue tout d'abord comme mannequin ensuite comme chanteuse notamment aux côtés de Lou Reed lors des débuts du Velvet Underground.

Elle est aussi connue pour sa relation avec l'acteur français Alain Delon. De celle-ci, est né un fils, jamais reconnu par l'acteur.

A Spa, Susanna Nicchiarelli a choisi le musée local pour servir de cadre, magie du cinéma, à un hôpital psychiatrique.
 
A la mi-décembre, elle tournera, dans le cadre de ce biopic consacré à Nico, un concert à Seraing.


Titre du film : "Nico 1988" (année du décès de celle-ci à Ibiza, à l'âge de 50 ans)