Bienvenue

Bienvenue sur ce modeste blog dédié à l'information artistique et culturelle dont nous avons connaissance.

Nous recevrons avec plaisir toute information concernant un évènement que vous organisez, un livre que vous venez d'écrire, un CD que vous venez d'enregistrer...

Ce blog est géré par un journaliste professionnel.








dimanche 31 janvier 2021

Julien Tassin, un guitariste à découvrir

  A découvrir... 

Entendu et découvert à la radio, ce guitariste de jazz Julien Tassin venu présenter, aux micros de Musique 3, son nouvel album, le second de sa jeune carrière : "Moondancer"

Deux ans après un premier disque en trio (Sweet Tension, Igloo 2018), le guitariste Julien Tassin revient avec Moondancer, 8 titres inspirés de Jazz, de Blues et de musiques de film.

Cet album est présenté ici

avec la possibilité d'écouter quelques extraits.

Sur Youtube, il est aussi donné l'occasion, avec une vidéo datant d'août 2019, de découvrir Julien Tassin, seul à la guitare électrique.ici 

vendredi 29 janvier 2021

L'art musical des sonneurs de trompe reconnu comme patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'Unesco

 En décembre 2020, à Paris, l’UNESCO a estimé que l’Art musical des Sonneurs de Trompe (une technique instrumentale liée au chant, à la maîtrise du souffle, au vibrato, à la résonance des lieux et à la convivialité) méritait de figurer sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Les ministres Bénédicte Linard et Jan Jambon, compétents respectivement pour la Culture en Fédération Wallonie-Bruxelles et en Communauté flamande, se réjouissent de cette bonne nouvelle.  

Selon la Convention UNESCO de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, celui-ci englobe les traditions héritées de nos ancêtres et toujours pratiquées grâce à la transmission de génération en génération (arts du spectacle, pratiques sociales, rituels, événements festifs, savoir-faire artisanal…). Ce patrimoine est représentatif d’une identité et d’une grande diversité culturelle. 

Le dossier de demande de reconnaissance a été introduit par la France au nom de quatre pays associés à savoir la Belgique, le Luxembourg, l’Italie et la France. Cette demande a été soutenue par plusieurs partenaires tels que la Fédération Internationale des Trompes de France, la Fédération des Trompes du Benelux, des ONG spécialisées (comme CEMPER en Communauté flamande) ainsi que  la communauté des sonneurs de trompe. L’évaluation du dossier, qui prévoit une procédure de sélection très stricte, a duré un an et demi.

Le comité d’évaluation de la Convention a particulièrement apprécié les mesures de sauvegarde entourant l’art musical des sonneurs comme le développement de l’offre de formations, de stages et de concours internationaux. La notion de partage et l’enrichissement des répertoires ainsi que la réelle démocratisation de la pratique, qui permet à chacun sans distinction de niveau d’instruction, de milieu socio-culturel, de genre ou d’âge de jouer de la trompe et de participer à sa valorisation en Belgique, ont également été salués. Enfin, le comité a  apprécié  la sensibilisation à l’environnement qu’inclut cette pratique ; celle-ci est renforcée par les cérémonies et les concerts en plein air qui favorisent le lien avec la nature et la beauté des paysages.

Cette reconnaissance est un encouragement moral important pour l’Art musical des Sonneurs de Trompe dans notre pays et une récompense pour toutes celles et tous ceux qui s’impliquent en Flandre et en Wallonie, afin de garder en vie cette riche culture musicale.

L’Art musical des Sonneurs de Trompe

Les musiciens de la trompe s'appellent des « sonneurs » et sont nombreux en Belgique. À ce jour, la Fédération des Trompes du Benelux (FTB), fondée en 1975, compte 14 groupes en Wallonie et à Bruxelles, et 8 en Flandre. Certains groupes de sonneurs sont plus que centenaires. Une dizaine d’écoles permettent de s’initier à cette pratique ancestrale et donne aux formateurs l’occasion de partager leur passion.

L’instrument est pratiqué en soliste ou en groupe. Il donne sa pleine mesure et est apprécié du public lorsque plusieurs exécutants assurent l'harmonisation d'une mélodie. L’art des sonneurs s’exprime dans le cadre de concerts et de manifestations festives populaires (fêtes de la nature et de Saint-Hubert, fête de la Musique, kermesses, spectacles son et lumière, offices religieux…) ou en privé. Lors des fêtes de villages, la présence de groupes de trompe rappelle l’attachement à la vie rurale. Tout événement en plein air renforce le lien historique des sonneurs avec la nature. 

Sonner consiste à partager avec le public la musique, le timbre et le vibrato caractéristiques de l’instrument. L’ampleur sonore naturelle est d’autant plus exaltée, lorsque les prestations se font dans des lieux de résonance (forêt, sommet d’une colline, château, église, grotte…) et offre ainsi une émotion forte aux auditeurs. La sonnerie de trompe est un art ouvert à la créativité et certaines formations expérimentent des morceaux issus du répertoire pop ou intègrent des airs de jazz. 

Les groupes accueillent de jeunes sonneurs, dès qu’ils sont en âge de tenir l’instrument et d’émettre un son. Des instruments sont mis à disposition afin de faciliter l’accès des plus jeunes et des nouveaux musiciens à la pratique et en assurer l’attractivité. Les femmes ont également leur place dans les groupes de trompe depuis le milieu du 19e siècle ; le premier concours de trompe solo des Dames remonte à 1951. La plupart des groupes actuels comptent, au moins, une sonneuse dans leurs rangs et de plus en plus de femmes s’intéressent à la pratique. En 2016, la Société des disciples de Saint-Hubert, à Namur, comptait 4 femmes sur 17 membres et son école recensait 10 femmes sur 36 élèves inscrits.

En Belgique et au Luxembourg, où la chasse à courre est interdite sur le territoire national, la pratique musicale de la trompe est particulièrement dynamique et connaît un nombre croissant de nouveaux sonneurs, qui pratiquent leur art et leur passion en toute indépendance par rapport à cette pratique. De très nombreuses journées de sensibilisation et de concours de musique de trompe sont organisées en plein air entre les mois de mai et d'août, hors saison de chasse.

« L’Art musical des Sonneurs de Trompe fait partie de notre patrimoine culturel historique. La pratique de la trompe et l’instrument lui-même ont en effet des origines particulièrement anciennes. Cet art, qui s’épanouit désormais en dehors du monde de la chasse à courre, participe à la diversité et à la richesse du monde musical de notre pays. Je me réjouis donc de sa reconnaissance par l’Unesco en tant que patrimoine culturel immatériel » commente Bénédicte Linard, ministre de la Culture.

Ce lien permet de visualiser le film officiel de présentation du dossier Unesco

mercredi 27 janvier 2021

Mons, une catastrophique restauration ?

 "Collégiale Sainte-Waudru de Mons : une "restauration" illégale aux conséquences catastrophiques". C'est par ces mots que débute un communiqué du réseau belge Archeologia.

Il pointe du doigt une "pseudo restauration" et ses conséquences graves sur des éléments présents dans cette Collégiale montoise, édifice religieux emblématique de la ville de Mons classé au Patrimoine exceptionnel de Wallonie.

 

A lire sur le site d'Archelogia

lundi 18 janvier 2021

Au Mac's, rétrospective autour de Johan Muyle

 


Considéré comme l’un des artistes belges les plus importants de sa génération, Johan Muyle fait l'objet, jusqu'au 18 avril 2021, d'une exposition rétrospective au MACS.

De ses modestes assemblages fabriqués avec l’aide des artisans des rues de Kinshasa à ses motos customisées en passant par ses peintures monumentales confiées aux peintres affichistes de Mumbai, l’œuvre de Johan Muyle (né à Charleroi en 1956) s’est nourrie de ses nombreuses rencontres et collaborations à travers le monde.

Les savoir-faire, les croyances, les rituels, les imageries et les contes populaires qu’il y découvre alimentent son intérêt pour l’altérité et sa foi en un humanisme pourtant maltraité. Par le biais d’assemblages motorisés, d’aphorismes cryptés ou d’œuvres performatives, Johan Muyle réalise des allégories énigmatiques qui nous interpellent sur l’état du monde et ses contradictions.

Réagissant à l’actualité, il s’empare et détourne ainsi des faits divers et des événements historiques dans le but de dénoncer la vanité humaine, la barbarie des gouvernements et l’hypocrisie des religions et de la société du spectacle, mais aussi de montrer, comme le disait Jean-Luc Godard, que « la civilisation est dans les peuples », en célébrant par exemple ces héros de la révolution et de la résistance que représentent à ses yeux ‘les mères de la place de Mai’ en Argentine ou encore les ‘Moustache Brothers’ en Birmanie.

Présentant des sculptures emblématiques (L’Impossibilité de régner, 1991), des installations revisitées (Singin’ in the Rain, 2008) ou jamais montrées en Belgique (Rien ne s’y oppose, 2010) aussi bien que des assemblages récents (De Spinario -Le Tireur d’épine, 2017), l’exposition No Room for Regrets a été conçue par l’artiste lui-même comme un parcours immersif et interactif à travers les principales périodes de son œuvre et en dialogue avec l’architecture du musée.

Johann Muyle profite ainsi de la spécificité des lieux pour instaurer un jeu avec l’architecture contemporaine de l’espace muséal, mais aussi avec celle, néoclassique, du site du Grand-Hornu. 

Informations pratiques

 

jeudi 14 janvier 2021

A Bruxelles, l'univers du design à travers la chaise

Photo : Tai Lomas ; Dancer : Michelle Peters
 

Le Design Museum Brussels présente du 24 mars au 29 août 2021, l’exposition « Chaise. Stoel. Chair. Defining Design », qui questionne, à travers la chaise, l’univers du design de la fin du 19e siècle à aujourd’hui.  

 
La chaise, dont le monde du design s’est emparé pour en explorer la fonction, la forme ou encore le message qu’elle véhicule, sera ainsi au centre de cette exposition. De la fameuse Red Blue chair  de Gerrit Rietveld à la Tube Chair de Joe Colombo, en passant par la Wassily de Marcel Breuer et la CUP de Konstantin Grcic, les designers ont sans cesse réinventé et redéfini la chaise, interrogeant le bagage culturel, technique, historique et social qu’elle véhicule. « Chaise. Stoel. Chair. Defining Design » interroge, à travers cet objet du quotidien, le design et ses évolutions, ses progrès et ses adaptations, au cours des cent dernières années. Les visiteurs pourront découvrir 100 chaises représentatives des évolutions du design. 
 
Déclinant chacun un angle spécifique, cinq parcours offriront une approche singulière et originale du sujet : la production (de masse ou de pièces uniques) ; l’usage, puisque certaines chaises adaptent leur forme aux besoins de l’usager, tandis que d’autres questionnent les comportements à l’utilisateur; l’innovation, qu’elle soit technologique (comme l’utilisation de la mousse polyuréthane) ou qu’elle redéfinisse le sens de l’objet (comme la chaise en porte-à-faux de Mart Stam) ; ou encore sa valeur iconique, avec des objets emblématiques d’un mouvement, d’une entreprise, d’une signification social. Le cinquième parcours est expérimental, avec des applications tactiles et pédagogiques qui s’adressent tant aux enfants qu’aux adultes.
 
Cette exposition originale proposée et réalisée par l’équipe du Design Museum Brussels a pu voir le jour grâce à la collaboration entre la collection de chaises du The design Museum (London), la collection privée de Galila Barzilaï-Hollander ainsi que la collection du Design Museum Brussels (The Plastic Design Collection). Si la majorité de ces chaises sont regroupées dans l’espace d’exposition temporaire du musée, un parcours dans les autres espaces d’expositions (notamment dans Belgisch Design Belge et aussi les Réserves) permettra aux visiteurs de découvrir l’entièreté de la sélection. 

Plus d'informations pratiques ici

mercredi 13 janvier 2021

Kanal-Centre Pompidou lance "Studio K"

Studio K

la webradio de Kanal-Centre Pompidou

 Ce jeudi 14 janvier, pour 4 semaines, KANAL - Centre Pompidou lancera un nouveau projet expérimental: sa webradio « Studio K » ! 

Celle-ci sera en ligne du jeudi au dimanche de 16h à 19h via le site kanal.brussels et podcastable ensuite. Les programmes sont réalisés en collaboration avec le CIVA, Florent Delval, Magali Halter, Samah Hijawi et Xeno–.
 
Entre le démontage de la première partie de It Never Ends et le montage de la seconde, les espaces du rez-de-chaussée du Showroom accueilleront un studio de radio temporaire et expérimental. Alors que KANAL - Centre Pompidou ferme ses portes quelques semaines, l'institution se met en pause et se pose pour s'ouvrir encore plus. Durant quatre semaines d’entretiens, de débats, de rencontres, de tables rondes, d’échanges, de performances, de documentaires, de créations sonores, d'archives inédites et de cartes blanches, KANAL - Centre Pompidou propose de faire la place à une myriade d'invité(e)s de tous horizons et leur propose de prendre la parole - et l'antenne - pour partager leurs urgences, questions, désirs et visions.
 
Pourquoi une radio ? John M Armleder et Ecart, dans les années 70 déjà, avaient utilisé le médium radiophonique pour partager à l’échelle internationale les expérimentations de leur collectif genevois. Dans un monde saturé d’images, dans un espace social soumis au risque constant de désunion, dans un contexte où règnent la précarité, l’inquiétude et le manque de lisibilité, de nombreux artistes ont récemment fait de la radio un espace des possibles et de l’alternative, pour produire, présenter et diffuser collectivement de l’art, mais à distance. Il était logique que KANAL - Centre Pompidou se dote d'un tel outil, léger et ouvert sur la sphère publique. 
 
Plus fondamentalement, Studio K est l’opportunité d’ouvrir un nouveau chantier à KANAL - Centre Pompidou ayant pour objectif, comme l’ensemble de nos expérimentations, de se déployer à long terme. Il est une déclaration de dépendance : si une leçon est à tirer de cette pandémie, c’est bien que nous avons besoin les uns des autres. Studio K est imaginé comme un moment d’hospitalité, de réflexion sur l’avenir du musée et celui de nos sociétés, un moment d’intimité avec l’art, les artistes et les citoyens.
 
C’est ainsi que les « conversations » se feront avec différents acteurs et actrices culturels, artistiques, institutionnels, politiques et de la société civile sur les questions qui se posent de manière encore plus cruciale depuis l’apparition du virus: de l’écologie au rôle des institutions culturelles, de la décolonisation à la question de la construction des savoirs, de la gentrification au travail artistique.

mardi 12 janvier 2021

Livestream, ce 16 janvier : danseurs, performeur, plasticien dans un récit mythologique...

 ©DannyWillems

 Livestream ce 16 janvier à 20 heures

Avec Hands do not touch your precious Me, Wim Vandekeybus crée un récit mythologique de confrontation et de transformation, de lumière et d’ombre, de mort et de renaissance. Il collabore pour ce projet avec la compositrice Charo Calvo, huit danseurs et – pour la première fois – avec le performeur et plasticien Olivier de Sagazan. Ensemble, ils mettent sur pied un univers où les corps, en tant que sculptures vivantes, de chair, se balancent entre l’utopique et l’horrible, entre le puissant et le fragile.


Le titre mystérieux et poétique est un vers tiré d’un hymne écrit par la grande prêtresse sumérienne Enheduanna à la déesse Inanna. Parmi les mythes entourant la déesse Inanna, sa spectaculaire descente aux Enfers est le plus intrigant. Inanna est la personnification divine des paradoxes de l’existence humaine. Ses actions reflètent les tensions et les contradictions qui jalonnent chaque vie individuelle. Retranscrits en écriture cunéiforme sur des tablettes d’argile, il y a plus de 4 000 ans, ces récits comptent parmi les plus anciens de l’humanité.

 ©DannyWillems

Les spectacles de Wim Vandekeybus tout comme les performances d’Olivier de Sagazan travaillent sur la frontière de ce que signifie être « corps » et être « humain ». Vandekeybus a développé son langage chorégraphique sur base des réactions impulsives et instinctives qui naissent de la confrontation avec des situations de risque physique et de danger. Le cœur de l’œuvre de de Sagazan est la transfiguration du corps et du visage, à l’aide d’argile et de peinture, en un amas de chair anonyme. L’exploration des limites humaines menée par Vandekeybus et de Sagazan reçoivent un écho musical dans la texture matérielle et physique du paysage électroacoustique de Charo Calvo.

Le livestream sera disponible durant 48 heures via 247.kvs.be

Quant aux prestations en présentiel, elles sont prévues dès le mois de juillet.

 

 

lundi 11 janvier 2021

A Liège, Giacometti au coeur d'une exposition monographique d'ampleur

   

Alberto Giacometti © Photo Emmy Andriesse © succession Alberto Giacometti SABAM2020 
L'humanité absolue

Sculptures et estampes

Exposition prolongée jusqu'au 14 février 2021 

 
L’exposition «Alberto Giacometti - l’Humanité absolue», initialement programmée du 17 octobre 2020 au 17 janvier 2021 à La Cité Miroir a pu être prolongée jusqu’au 14 février 2021 suite à un accord trouvé avec la Fondation Giacometti à Paris.
 
La prolongation, une excellente nouvelle !
 
L’exposition avait dû fermer ses portes durant un mois (du 29 octobre au 1er décembre) en raison de la crise covid. Depuis la réouverture, des mesures ont été mises en place pour accueillir les visiteurs dans les meilleures conditions sanitaires : réservations obligatoires des tickets et des heures de visite, jauge limitée par demi-heure, port du masque obligatoire, vestiaires non accessibles, gel hydroalcoolique à disposition.
 
Ces mesures n’ont pas freiné le public : près de 10 000 personnes sont déjà venues admirer les sculptures et lithographies signées Giacometti. Durant les vacances d’hiver, les créneaux horaires affichaient «complet» en grande majorité. Mais bien sûr, la capacité d’accueil avait été revue à la baisse.
 
Alberto Giacometti © Photography Pierre-Yves Jortay © Cité Miroir
 
 
Alberto Giacometti - l’Humanité absolue est l’une des premières expositions monographiques d’ampleur de l’artiste en Belgique. Dans une scénographie en harmonie avec l’architecture singulière de La Cité Miroir, l’installation comprend 35 chefs-d’œuvre en bronze de la collection de la Fondation Giacometti et d’exceptionnelles lithographies issues de l’ouvrage mythique de Giacometti, Paris sans fin.
 
Comment « faire une tête » ? Comment représenter un corps, une silhouette ? Voici ce qui anime Giacometti au cours de quelque trente années de création. Plaçant l’homme au centre de ses recherches, il travaille inlassablement sur la figure humaine, notamment sur les motifs de la figure féminine, de la tête et du buste.
 
La sélection d’œuvres, s’étendant sur une trentaine d’années, propose une lecture du travail d’après-guerre de l’artiste le replaçant dans un contexte historique marqué par la philosophie existentialiste de Jean-Paul Sartre. Giacometti fait sa connaissance en 1941 et le fréquente assidument après-guerre : une rencontre entre deux hommes attachés de manière absolue à la liberté.