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samedi 29 novembre 2014

Guitare : Improvisation XVII-XXI, Sébastien Llinares joue Eric Pénicaud.

Le guitariste classique Sébastien Linares joue Improvisation XVII-XXI, une des récentes pièces pour guitare composées par Eric Pénicaud.

Le guitariste les a créées début octobre lors d'un concert en la salle Cortot à Paris.

"Cette pièce est une Sorte de va-et-vient musical continu entre les XVIIe et XXIe siècles.

En tout cas, son interprétation est magnifique et très proche de mon intention originelle de compositeur..." confie Eric Pénicaud





▶ Improvisation XVII-XXI, Sébastien Llinares joue Eric Pénicaud. - YouTube

samedi 22 novembre 2014

La Sabam a remis ses premiers "awards" francophones

La première édition francophone des SABAM AWARDS s’est tenue à MONS ce vendredi 21 novembre.
Les SABAM AWARDS visent à mettre en lumière le meilleur des créateurs membres de la SABAM, dans toutes les disciplines artistiques qui composent son répertoire : la musique, l’audiovisuel, les arts plastiques, les arts de la scène et la littérature.

Au cours d’une soirée animée par Olivier Monssens, 15 Awards d’une valeur de 2.000 euros chacun ont été décernés à des créateurs membres de la SABAM qui se sont distingués au cours des deux dernières années.

Des  jurys externes, composés de spécialistes indépendants ont attribué 14 Awards. Le goût et l’expertise des jurés les ont parfois amenés à porter leur choix vers des talents émergents ou prometteurs, parfois vers des artistes confirmés.
C’est le public qui a choisi le meilleur humoriste (15ème Award), via le site et les réseaux sociaux de la SABAM.

Durant la cérémonie, des  artistes primés se sont produits sur scène  pour le plus grand plaisir du public.

Voici la liste des 15 lauréats:

Arts de la Scène-Auteur : Mochélan pour "Nés Poumon Noir"
Arts de la Scène-Compositeur : Maxime Bodson pour "Clear Tears Troubled Waters"
Arts Visuels : Ann Veronica Janssens
Chanson Française : Antoine Chance
Chanson/Single : Saule pour "Dusty Men" (feat. Charlie Winston)
Court-Métrage :  Xavier Istasse pour "Les Gens du Fleuve" (documentaire)
Humoriste : Zidani
Illustrations (toutes catégories) : Peter Elliott
Littérature : Guiseppe Santoliquido pour "Voyage Corsaire"
Musique Contemporaine : Jean-Pierre Deleuze
Musiques Electroniques : Squeaky Lobster
Musique de Film : Hughes Maréchal pour "Quand je serai dictateur" de Yaël André
Musiques du Monde : Fredy Massamba
Musiques Urbaines : Veence Hanao 
Rock/Pop/Folk : BRNS        
 
Claude Martin, administrateur délégué de la SABAM: "La SABAM se veut résolument proche de ses membres et est très concernée par le soutien de leurs activités artistiques. Grâce à son fonds culturel (SABAM FOR CULTURE) elle est partenaire de près de 200 événements durant toute l’année et délivre des bourses à de nombreux créateurs. Cette remise de prix illustre notre volonté constante de soutenir la création de nos auteurs".
 
Précisons enfin que la SABAM décernera deux Jazz Awards au cours d’une autre cérémonie.

Arthur H et Jeanne Cherhal auréolés du prix chanson de l'Académie Charles Cros

Deux chanteurs ex aequo, cette année, pour recevoir le prestigieux prix de l'académie Charles Cros : Arthur H pour son dernier disque en date "Soleil dedans" et Jeanne Cherhal pour "Histoire de J."



Arthur H et Jeanne Cherhal auréolés du prix chanson de l'Académie Charles Cros

vendredi 21 novembre 2014

L'OPRL accueille Laurence Equilbrey

Laurence Equilbey voit triple

A Liège et à Bruxelles, trois dates et trois œuvres de Beethoven, dont le Triple Concerto et la Fantaisie chorale

 


L’Orchestre Philharmonique Royal de Liège accueille pour la première fois Laurence Equilbey, dans un programme 100% Beethoven, à la Salle Philharmonique de Liège le vendredi 28 novembre à 20 heures, et à Flagey le mardi 2 décembre à 20h15 dans le cadre du « Music Chapel Festival Beethoven », en collaboration avec la Chapelle Musicale Reine élisabeth.

 Avec son chœur Accentus, et depuis 2012 Insula Orchestra, Laurence Equilbey s’est forgé une réputation de premier plan, en France et bien au-delà, dans des répertoires très divers. En témoigne son actualité discographique cet automne, avec le Requiem de Mozart (Naïve) et l’opérette Ciboulette de Reynaldo Hahn (FraMusica).

 Pour ce programme Beethoven, Laurence Equilbey dirige l’OPRL dans le Triple concerto pour piano, violon et violoncelle (1804), avec trois jeunes musiciennes de la Chapelle Reine Elisabeth : Harriet Langley (violon), Lidy Blijdorp (violoncelle) et Lilit Grigoryan (piano). L’ouverture du Roi Étienne (1811) est un vibrant hommage au fondateur de la nation hongroise. Enfin, la Fantaisie chorale pour piano, chœur et orchestre (1808) marque les prémices de l’Ode à la joie de la 9e symphonie, tant par ses thèmes musicaux et philosophiques (le même message de paix) que par la présence d’un chœur (le Chœur Symphonique Octopus), auquel vient s’ajouter pour cette Fantaisie un piano soliste (Kaito Kobayashi).

 Au moment où s’ouvre le procès des quatre accusés de l’assassinat d’Ihsane Jarfi, Beethoven est aussi au programme d’un concert intitulé « Musique contre Barbarie », le mercredi 26 novembre à 20 heures, à la Salle Philharmonique. Les bénéfices de la soirée seront intégralement reversés à la Fondation Ihsane Jarfi, qui lutte contre toutes les formes de discrimination et de violence, plus particulièrement celles motivées par l’homophobie. L’OPRL et Laurence Equilbey y donnent le Triple Concerto de Beethoven, et deux jeunes solistes de la Chapelle Reine Elisabeth interprètent la 4e Sonate pour violoncelle et piano.

 

D'où naissent les instruments

Sur le site de Radio France et l'émission "NouvOson" ... le facteur de guitare Maurice Dupont, sis à Cognac



D'où naissent les instruments (2/3) - Le Sage | NouvOson

Cyprès rassemble 4 oeuvre de Michel Fourgon, commandées et créées par l'OPRL

Michel Fourgon et l’OPRL,

 4 commandes, un disque


De 2001 à 2010, l’OPRL lui a commandé quatre œuvres. Le label Cypres les a rassemblées.

 

Premier disque monographique du compositeur belge Michel Fourgon, « Filigranes » rassemble quatre œuvres symphoniques commandées et créées par l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège (OPRL), entre 2001 et 2010. Captées en concert par Musiq’3 et France Musique, lors de leur création ou d’un concert ultérieur, ces quatre œuvres sont aujourd’hui rassemblées par le label Cypres (sortie ce 20 novembre 2014).

Directeur musical de l’OPRL de 2006 à 2009, Pascal Rophé, grâce à sa « fantastique capacité à rendre une partition nouvelle avec minutie et une expression qui font de lui un chef avec lequel tout compositeur actuel souhaiterait collaborer » (selon les termes de Michel Fourgon), est le maître d’œuvre de Cori Spezzati (composé en 2001), La Brise du roseau (2004, avec le clarinettiste Jean-Pierre Peuvion), Filigranes (2006) et Le tracé s’envole (2010, avec le Chœur de chambre de Namur).

A l’éternelle question du « qu’en est-il de la création musicale », Filigranes apporte une réponse, portant les fruits de plus de dix ans de collaboration entre le compositeur et l’OPRL.

 

michel fourgon | filigranes

orchestre philharmonique royal de liège | pascal rophé

jean-pierre peuvion | chœur de chambre de namur

 
1_Le tracé s’envole
pour chœur à quatre voix mixtes et orchestre (2010)
 
2_Filigranes
concert pour orchestre (2006)
 
3_La Brise du Roseau
concert pour clarinette et orchestre (2004)
 
4_Cori Spezzati  
pour orchestre (2001)
 
Enregistrement en concert à la Salle philharmonique de Liège le 7 novembre 2008 (track 4), le 21 janvier 2005 (track 3) et le 10 juin 2011 (track 1), ainsi qu’à la Maison de Radio France (Salle Olivier Messiaen) lors du Festival Présences le 16 février 2007 (track 2)
Prise de son, montage et mastering: RTBF/Musiq’3, France Musique – Denis Guerdon
 

 
Michel Fourgon

Michel Fourgon est né à Liège, en 1968. Dès son plus jeune âge, ses parents lui enseignent la musique. Il étudie ensuite au Conservatoire royal de Liège (musique électronique avec Patrick Lenfant) puis au Conservatoire royal de Mons (composition avec Claude Ledoux). En 1992, il obtient une licence en Arts et Sciences de la Musique à l’Université de Liège. Au sein de cette même institution, il travaille comme chercheur dans le service d’Henri Pousseur de 1993 à 1995. Il s’intéresse notamment aux rapports qu’entretiennent texte et musique et réalise plusieurs spectacles de théâtre musical en compagnie du metteur en scène Michael Delaunoy. Michel Fourgon aime également confronter son univers à d’autres disciplines artistiques (peinture, photographie, poésie). Il collabore régulièrement avec l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège depuis 2001. En 2008, il crée les Carnets du Forum, publication bisannuelle éditée par le Forum des Compositeurs de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Sa musique tente une synthèse personnelle des découvertes du passé proche tout en cherchant de nouvelles voies, principalement au niveau du discours et de l’expression. Elle est ancrée dans la combinatoire et teintée d’un certain lyrisme poétique, expression de son goût pour la littérature. Sa musique est régulièrement jouée lors de festivals tels que Présences (Paris), Festival 1900 (Trento), Festival d’Automne (Moscou) ou Ars Musica (Bruxelles). Ses œuvres emploient des formations très variées s’échelonnant du solo instrumental au grand orchestre avec soliste, en passant par la musique de chambre, la musique vocale, la musique électronique mixte ou encore la musique d’ensemble. Plusieurs d’entre elles ont fait l’objet d’enregistrements sur disque, notamment pour le label Cypres. À l’initiative de l’Opéra de Rouen, son premier opéra (Lolo Ferrari) est créé dans cette même ville en mars 2013. Michel Fourgon est actuellement professeur d’histoire de la musique et de composition au Conservatoire royal de Liège.

mardi 18 novembre 2014

Guitares romantiques en duo

Autour du répertoire du compositeur autrichien Mertz, deux guitares romantiques jouées par Raphaella Smits et Adrien Brogna...

un CD et un concert... sur des instruments historiques.



Flagey - Raphaella Smits, Adrien Brogna

lundi 17 novembre 2014

A Spa, Scherzi musicali clôture la 29e édition de l'Automne musical


SCHERZI MUSICALI

Déborah York, soprano

Nicolas Achten, baryton, théorbe et direction.

LE 22 NOVEMBRE A 20H

Salon bleu du Centre culturel de Spa

Le mythe d’Orphée dans la musique italienne du 17e siècle
Claudio Monteverdi, Tarquinio Merula, Giulio Caccini, Luigi Rossi, Jacopo Peri, Antonio Sartorio, Andrea Falconiero, Stefano Landi…



Scherzi Musicali

Scherzi Musicali compte parmi les jeunes ensembles remarqués dans le monde de la musique ancienne. Il est fondé et dirigé par Nicolas Achten, l’un des rares chanteurs classiques à s’accompagner de divers instruments (luths, harpe, clavecin), renouant avec la pratique historique. A géométrie variable, Scherzi Musicali rassemble de jeunes chanteurs et instrumentistes désireux comme lui de repenser l’approche de la musique ancienne, cherchant à servir le plus justement la musique avec un réel souci de pertinence musicologique.
 
 

 
 
 
 
 
Baryton, claveciniste, luthiste, harpiste et chef d’ensemble, Nicolas Achten est une figure montante dans le monde de la musique ancienne : lauréat du VIIème Concours International de Chant baroque de Chimay en 2006, il est élu artiste classique de l'année 2009 aux Octaves de la Musique et « Prix du jeune musicien de l’année 2009 » décerné par l’Union de la presse musicale belge.

La réputation de Deborah York (Sheffield, UK) n’est plus à faire: son début de carrière fut marqué par des collaborations régulières avec quelques-uns des ensembles ou chefs majeurs du répertoire de musique ancienne: John Eliot Gardiner, Philippe Herreweghe, Ton Koopman, Rinaldo Alessandrini, etc). Elle parcourt depuis la planète, côtoyant Mozart, Gluck, Haendel, Vivaldi, Donizetti, Britten, Monteverdi et Purcell, dans des salles ou maisons opéras des plus prestigieuses: Covent Garden, Teatro Colón de Buenos Aires, 'Innsbrucker Festwochen der Alte Musik’, Carnegie Hall, Beyerische Staatsoper de Munich, Staatsoper Unter den Linden, etc.


Il pianto d’Orfeo

Peri, Caccini, Monteverdi… Pourquoi Orphée a-t-il été le sujet de tant de ces premiers opéras? Probablement parce qu’il unit le texte à la musique: aède, il chantait et s’accompagnait de la lyre. Son chant était réputé pour émouvoir toute créature et pouvait même faire pleurer les pierres. Orphée était sans nul doute le meilleur ambassadeur pour cette nouvelle musique: le recitar cantando. Le programme de ce concert retrace le mythe d’Orphée et Eurydice dans une confrontation entre les premières lectures de grands artistes du seicento.



Le nuove musiche

L’histoire de la musique prend vers 1600 un virage fondamental avec la naissance de l’opéra. C’est à Florence qu’émerge ce genre nouveau, né de l’idéal artistique développé au sein de la Camerata de’ Bardi: cette société savante avait regroupé les plus éminents humanistes de la ville — artistes, philosophes et théoriciens. L’intérêt de la Renaissance pour l’Antiquité les guide vers des sources jusque-là inédites concernant la tragédie et de la poésie grecques: on usait autrefois d’une voix à mi-chemin entre le parlé et le chanté, et ce tout en s’accompagnant. Pour pouvoir véhiculer l’émotion auprès d’un public, la musique devait être verbe, rythme, et finalement son. (Nicolas Achten)



Renseignements et réservation : www.automnemusical.com

dimanche 16 novembre 2014

Liège : des Amériques qui parlent au public

Glass, Adams, Bernstein : Les Amériques qui parlent au public


Au festival Ars Musica, à Bruxelles et Liège, l’OPRL et Patrick Davin se la jouent « Mini Maxi ».

 
Le jeudi 20 novembre à 20h à Bruxelles (Palais des Beaux-Arts) et le vendredi 21 novembre à 20h à la Salle Philharmonique de Liège, l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège dirigé par Patrick Davin propose un programme « Mini Maxi », selon le titre choisi par l’édition 2014 du Festival Ars Musica.

Comme l’explique Bruno Lefort (Ars Musica), « il me semblait important de se tourner vers un mouvement musical, très populaire des dernières années mais presque absent du festival : le minimalisme qui, parti des Etats-Unis, a conquis le monde entier et, en Belgique, s’est exprimé sous une forme extrême, le groupe Maximal ! de Thierry De Mey et Peter Vermeersch. »

 Au programme, deux pièces de compositeurs phare du minimalisme américain : The Canyon de Philippe Glass (1988), deuxième pièce d’une série de « portraits de la nature », et les Chairman dances de John Adams (1985), fox-trot pour grand orchestre, issu de son opéra Nixon in China. Des compositeurs qui ont intégré le grand répertoire des orchestres du monde entier parce qu’ils ont pu séduire les publics les plus larges.

 L’Orchestre Philharmonique Royal de Liège crée aussi Zwerk, une œuvre de Peter Vermeersch commandée par le festival Ars Musica, et invite le violoniste Tedi Papavrami dans la Sérénade pour violon de Bernstein (1954). Créée à la Biennale de Venise par Isaac Stern, cette œuvre atypique de Bernstein s’inspire du Banquet de Platon et est un véritable hymne à la puissance de l’amour. Ses cinq mouvements portent des noms de personnalités grecques antiques, qui s’expriment chacun sur les diverses facettes de l’amour. 
Tedi Papavrami a reçu le Choc de l’année 2014 du magazine Classica et le Diapason d’Or pour son récent disque (intégrale des Sonates d’Ysaÿe, ZigZag Territoires)
 
Le site du festival Ars Musica : www.arsmusica.be

Tedi Papavrami : site : http://www.papavrami-tedi.com.

jeudi 13 novembre 2014

La 21ième édition du Festival de jazz Djangofolllies 2015 se tiendra du 15 au 31 janvier 2015.
 
 

Des artistes tels que Romane, Pierre en Richard Manetti (FR), la famille Limberger (NL), Lollo Meier (NL), Giacomo Smith (USA), De Cauter Quartet (BE), The Belgian Gypsy Swing Five (BE), Hot Club d’Europe (FI, NL), Jokke Schreurs (BE), La Femme Belge (BE) ou encore Alexandre Cavaliere (BE) se partageront 27 scènes réparties dans tout le pays, afin de célébrer la mémoire du célébrissime guitariste manouche Django Reinhardt.

mercredi 12 novembre 2014

Liège : Daniel Weissmann directeur général de l'OPRL

Le Conseil d’administration de l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège a décidé, ce lundi 10 novembre 2014, de nommer Daniel Weissmann au poste de Directeur général de l’OPRL.

 
 
Au terme d’une procédure de deux mois, et après l’audition de cinq candidats, le choix du Conseil d’administration, présidé par Jean Pierre Hupkens (Echevin de la Culture de la Ville de Liège), s’est porté sur Daniel Weissmann, Français, 58 ans, actuel Directeur général et artistique de l’Orchestre Dijon Bourgogne et violoniste de formation. Daniel Weissmann s’est distingué par ses compétences de gestion administrative et financière, des orientations artistiques en accord avec l’identité de l’OPRL et un souci de continuer à développer la qualité et la notoriété de l’Orchestre.

Daniel Weissmann prendra ses fonctions en janvier 2015. Il s’engage pour un contrat à durée indéterminée et exclusif de toute autre activité. En outre, il souhaite s’installer à Liège et s’intégrer pleinement dans la vie de la ville et de la Fédération Wallonie-Bruxelles (dont l’OPRL est la seule formation symphonique).

 

 
Comme Directeur général de l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège, Daniel Weissmann souhaite travailler, avec les équipes musicales et administratives, à l’évolution du répertoire et des partenaires de l’OPRL, et notamment s’orienter « vers un retour plus lisible des grandes œuvres qui ont forgé les orchestres depuis plus de deux siècles », en incluant la spécificité franco-belge propre à l’OPRL mais sans qu’elle « constitue un frein à l’inscription plus affirmée de l’OPRL dans la famille des grandes formations européennes ». 

 En outre, Daniel Weissmann souhaite explorer plus avant les nouvelles formes de concerts et ouvrir de nouveaux territoires à l’OPRL, dans sa présence internationale mais aussi dans sa région et sa cité, par la recherche de nouveaux publics et sa forte présence dans le quotidien de toutes les générations.

 Daniel Weissmann

Ses références

Titulaire du certificat de formation sécurité des spectacles entrepreneur de spectacles vivants du 09/03/2010.
Licence d'économie appliquée gestion à l'Université de Nanterre et Paris Dauphine.

Etudes de violon et de musique de chambre à l’Ecole Normale de musique de Paris et au Conservatoire Royal de Bruxelles.

Son parcours

Ø Directeur général de l’Orchestre Dijon Bourgogne depuis septembre 2009

Créé en 2009, l’ODB est né de la fusion des orchestres de l’Opéra et de la Camerata de Bourgogne. L’Orchestre (45 musiciens, ensemble à géométrie variable) est aujourd’hui un outil régional de haut niveau au service d’une partie de la politique lyrique de l’Opéra Dijon, mais aussi symphonique à travers un projet régional ambitieux tout en accentuant l’action culturelle en direction des publics éloignés de la musique orchestrale.

L’orchestre gère un « orchestre des quartiers » permettant toute l’année d’initier de jeunes enfants à la musique à travers des ateliers instrumentaux. En 2013, Daniel Weissmann a nommé le jeune chef hongrois Gergely Madaras au poste de directeur musical de l’ODB. (www.orchestredijonbourgogne.fr)


Ø Conseiller artistique de l’opéra-Dijon (Grand Théâtre et Auditorium) de 2006 à 2010 L’Auditorium de Dijon (1500 places) et le Grand Théâtre (700 places) reçoivent de nombreux orchestres et solistes internationaux (Berliner Philarmoniker, Concertgebouw Amsterdam, London Symphony orchestra, NDR orchester, Orchestre National de France, Orchestre Philharmonique de Radio France, Anima Eternae, Dissonances…), pour un public de plus de 80.000 spectateurs annuels. L’opéra est aussi un lieu de résidence et de création reconnu en Europe pour de grands orchestres et solistes internationaux.

 

Ø Depuis 2008, Secrétaire général du Festival « Musique et vin au Clos Vougeot »

A la demande du festival, Daniel Weissmann a créé une opération de mécénat international : création d’un Fonds instrumental, dotations de bourses annuelles à de jeunes solistes, etc.

 

Ø Directeur général et artistique de l’Orchestre Chalon Bourgogne (1988-2003) (directeur musical : Philippe Cambreling)

Choix des solistes et chefs invités (Roland Ayrabedian, Patrick Ayrton, Emmanuel Krivine, Pascal Verrot, Michel Dalberto, Isabelle Faust, Patrice Fontanarosa, Bruno-Leonardo Gelber, Laurent Korcia, Jean-Claude Pennetier…), créations et diffusions (disque Jolivet chez Accord-Musidisc, concerts, créations de Michèle Reverdy, Pascal Dusapin, etc.), coproductions lyriques.

 

Ø Directeur général, concepteur et créateur du projet et de Mosaïques - Centre de création et de diffusion musicales (1999-2009)

Cette structure a géré depuis sa création en 1999, l’activité globale de création, de production et de diffusion des concerts invités et de l’activité de création et de diffusion du Grand Chalon, ainsi que le département « Musiques Actuelles amplifiées ». Nombreux spectacles musicaux en création.

 Mais aussi

 De 1999 à 2002 : Délégué général de la Fondation Dokhan, Partenaire principal du Centre de musique baroque de Versailles et de l’Automne musical du château de Versailles.
De 2002 à 2010 : Expert musique auprès de la commission des affaires culturelles de Bourgogne pour la musique (DRAC – Ministère de la Culture et de la Communication).
De 1992 à 1998 : Chargé de production auprès du violoniste Patrice Fontanarosa (disques, tournées).
En 1994 : Chargé de mission par le bureau de concerts Valmalète auprès de la chambre syndicale des agents de concert pour une mission sur les orchestres européens (France, Espagne, Allemagne, Angleterre).
En 1991 : Chargé de mission auprès de la commission responsable du cahier des charges de la construction d’un bâtiment musical incluant un Conservatoire et une salle de concert à Chalon sur Saône.

Peintures belge et lettone à Liège

EXPOSITION 
 IMPRESSIONS ET PARALLELES
La peinture belge et lettone
des Musées des Beaux-Arts
de Lettonie et de Liège
 
Le BAL- Musée des Beaux-Arts de Liège accueillera, du ...20 novembre 2014 au 1er février 2015, une des plus vastes collections d'art belge conservées en-dehors de son territoire, au Musée national des Beaux-Arts de Lettonie (LNMM). Des tableaux d'artistes belges et lettons de la 1ère moitié du XXe siècle, tout à fait inédits pour le public belge, entrent en dialogue avec des oeuvres issues des collections liégeoises.
L'origine de cette exposition remonte à une étude récente analysant certaines idées préconçues concernant l'influence de la mode belge" dans l'art letton pendant l'entre-deux-guerres. Des liens artistiques étroits entre la Belgique et la Lettonie débutent en effet dans les années 1920, lorsque des artistes lettons viennent se former dans les Académies de Bruxelles et d'Anvers. Fin 1927, la toute première exposition d'art étranger dans une Lettonie alors récemment devenue indépendante est consacrée aux artistes belges, dont Isidore Opsomer, Louis Buisseret, Albert Servaes, Philibert Cockx, Armand Rassenfosse... auxquels la presse locale réserve un accueil triomphal.
En 1932, une collection d'art belge, rassemblée grâce aux efforts et
à l'enthousiasme de J?nis Lazdi, Ambassadeur letton à Bruxelles, est offerte à la Lettonie. Ces oeuvres sont pour la plupart des dons des artistes eux-mêmes ou de leurs familles. Par la suite, des achats sont venus compléter cet ensemble panoptique de la production artistique belge de la 1ère moitié du XXe siècle. Parmi ces oeuvres, encore jamais montrées en Belgique, on retrouve les signatures de Valerius de Saedeleer, Albert Saverys, Eugène Laermans, Frans Masereel, Marcel Hess, Georges Minne... pour n'en citer que quelques-unes. L'ensemble atteint rapidement le statut de trésor dans les collections du Musée national des Beaux-Arts de Lettonie (LNMM), où il est exposé de manière permanente.
Aujourd'hui, le département belge au sein du LNMM comporte plus de 150 peintures, dessins et sculptures, parmi lesquelles une sélection de 32 oeuvres revient pour la première fois en Belgique, à Liège et à La Louvière. Le BAL présente des oeuvres belges et lettonnes de la collection du LNMM, en dialogue avec des oeuvres représentatives de l'entre-deux-guerres des collections du BAL. Des tableaux d'artistes du groupe Nervia, conservés au LNMM, rejoignent le Musée Ianchelevici de La Louvière, qui élargit le propos de l'exposition avec des oeuvres de neuf artistes contemporains lettons.

Ces expositions sont organisées dans le cadre de la Présidence lettone du Conseil de l'Union Européenne en 2015, de la Ville de Riga en tant que capitale européenne de la Culture 2014 et dans le cadre de l'accord bilatéral entre la Lettonie et Wallonie-Bruxelles. Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

Intégrées dans le parcours de l'exposition, le dessinateur liégeois Laurent Hanquet nous livre ses impressions récoltées lors de ses fréquents voyages à Riga, sur les traces du patrimoine architectural de la capitale lettone et de ses environs.

jeudi 6 novembre 2014

Le guitariste Manitas de Plata est mort à 93 ans

Le guitariste Manitas de Plata est mort à 93 ans - RTL.fr

A Liège, l'art dégénéré selon Hitler

 
L'ART DÉGÉNÉRÉ SELON HITLER - LA VENTE DE LUCERNE  - 1939
Picasso, Chagall, Ensor, Kokoschka, Corinth, Derain...
A LA CITE MIROIR, LIEGE

Jusqu'au 29 mars 2015, La Cité Miroir présente une exposition inédite intitulée « L'art dégénéré selon Hitler - la vente de Lucerne - 1939 ». Elle est organisée en partenariat avec La Ville de Liège, l'Université de Liège, MNEMA asbl, Les Territoires de la Mémoire asbl, Les Musées de Liège asbl. À cette occasion, La Cité Miroir a le plaisir de vous inviter le jeudi 16 octobre 2014 à 11h30 à la conférence de presse inaugurale de cette exposition.

L'art et l'histoire sont réunis à Liège dans une exposition consacrée aux oeuvres qui furent vendues aux enchères par les Allemands à Lucerne en 1939. À l'aube de la Seconde Guerre mondiale, les autorités nazies qualifient plusieurs oeuvres d'art Moderne présentes dans les musées allemands de « dégénérées » et souhaitent les liquider. En juin 1939, elles organisent une importante vente aux enchères à Lucerne. Cette vente, qui prendra une dimension historique, réunit les noms des plus grands artistes de l'époque : Gauguin, Chagall, Matisse, Kokoschka ou encore Picasso...

L'État belge est présent à la vente, de même qu'une délégation liégeoise qui a rassemblé de gros moyens. La Belgique acquiert plusieurs tableaux pour les musées d'Anvers et de Bruxelles tandis que Liège achète neuf toiles exceptionnelles qui font actuellement partie des oeuvres majeures des collections de la Ville.  Aujourd'hui dispersées à travers le monde dans de prestigieuses collections privées et publiques, une part importante des oeuvres de la vente seront réunies pour la première fois et présentées en exclusivité´ à La Cité Miroir de Liège. L'exposition sera étoffée par de nombreux documents évoquant le contexte historique de la vente.

La Cité Miroir, bâtiment à l'architecture exceptionnelle, est un nouveau lieu culturel polyvalent en plein coeur de Liège. L'édifice a été´ construit en 1939 et vient d'être entièrement rénové´. Ce complexe abritait les bains publics et la piscine de la Sauvenière. Il est aujourd'hui dédié à des projets citoyens et culturels. Dans le cadre de l'exposition « L'art dégénéré selon Hitler - la vente de Lucerne  - 1939 », La Cité Miroir accueillera également un programme varié d'animations, dont des projections de films, des conférences et des rencontres.

L'asbl Art&Fact propose des visites guidées de cette exposition, en français, allemand, néerlandais ou anglais. La visite peut être combinée avec une découverte architecturale du lieu.

Le ticket d'entrée à l'exposition « L'art dégénéré selon Hitler » donne accès à trois autres expositions, qui s 'inscrivent dans la thématique « Art et Pouvoir » :

- Notre combat - Du 17 octobre au 12 décembre 2014 - La Cité Miroir
L'artiste Linda Ellia a choisi de réagir face à l'horreur du livre-programme d'Hilter, Mein Kampf en redistribuant les pages à des artistes et des anonymes pour qu'ils les recouvrent graphiquement. Une oeuvre intense, composée de centaines de cris.

- Les achats de Paris - Du 17 octobre au 29 mars 2015 - BAL
En août 1939, la délégation liégeoise acquiert à Paris 9 autres oeuvres majeures : James Ensor (1860-1949) : Coquillages ; Othon Friesz (1879-1949) : Le port d'Anvers ; Marcel Gromaire (1892- 1971) : Paysan au fagot ; Armand Guillaumain (1841-1927) : L'écluse du moulin Bouchardon à Crozant ; Jean Picart-Ledoux (1902-1982) : Nu ; Paul Signac (1863-1935) : Le château de Comblat ; Maurice Utrillo (1883-1955) : Le moulin de la Galette ; Kees van Dongen (1877-1968) : La violoniste ; Maurice de Vlaminck (1876-1958) : Fleurs rouges. Ces tableaux seront à découvrir au Musée des Beaux-Arts de la Ville de Liège.

- Artistes « dégénérés » dans les collections de L'ULg : Chagall, de Vlaminck, Ensor, Laurencin - Du 24 octobre au 31 janvier 2015 - Galerie Wittert (ULg)
Vernissage le jeudi 23 octobre 2014

En écho à l'exposition présentée à La Cité Miroir, l'ULg propose, à la Galerie Wittert, un accrochage faisant la part belle aux oeuvres d'artistes « dégénérés » et témoignant de toute la richesse de ses collections d'art.

La pianiste italienne Beatrice Rana pour la première fois en Belgique

Beatrice Rana,
l’étoffe des plus grands

Cette toute jeune pianiste italienne (21 ans !) remportait en 2013 la Médaille d’argent et le Prix du Public du prestigieux Concours Van Cliburn. Elle est pour la première fois en Belgique les 14 et 16 novembre.


Jeune prodige.
« Un pur enchantement ! » (Dallas Morning News). Élève de Benedetto Lupo, médaille d’argent du Concours Van Cliburn 2013, la pianiste italienne Beatrice Rana marque les esprits par sa maturité et un son dense et puissant. Dès 2011, elle remporte le Premier Prix et tous les prix spéciaux du Concours International de Montréal. En 2012, son premier disque (Chopin, Scriabine) reçoit les commentaires les plus élogieux. Beatrice Rana est pour la première fois à la Salle Philharmonique de Liège les 14 et 16 novembre, en soliste et en récital.



Concerto de Mozart.
Le vendredi 14 novembre à 20 heures, avec l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège (sous la direction de Fayçal Karoui), Beatrice Rana interprète le Concerto n° 9 « Jeunehomme » de Mozart (1777), écrit pour une jeune virtuose française en visite à Salzbourg. L’OPRL propose également lors de ce concert deux poèmes symphoniques, Le Chasseur maudit de Franck et L’apprenti sorcier de Dukas (ce concert est organisé dans le cadre du centenaire du Corps Consulaire de la Province de Liège).  

Piano 5 étoiles.
Le dimanche 16 novembre à 16 heures, en récital cette fois, Beatrice Rana ouvre la série « Piano 5 étoiles » (qui accueille également en 2014-2015 Jorge Luís Prats, Cédric Tiberghien, Nelson Goerner et Nelson Freire) avec Bach (Partita n° 1), la célèbre 2e Sonate de Chopin et la première des sonates « de guerre » de Prokofiev (Sonate n° 6).  

mercredi 5 novembre 2014

Paris : 1er salon du violon, de l'alto, du violoncelle, de la contrebasse et de l'archet

Le premier salon du violon, de l'alto, du violoncelle, de la contrebasse et de l' archet aura lieu les samedi 29 et dimanche novembre 2014 à la Bellevilloise.
 
 
 
Ce salon, très attendu par la profession, se déroulera  rue Boyer à Paris.
Les luthiers Bruno Dreux , Jean Louis Prochasson et l’archetier Yannick Le Canu sont à l’initiative de cet événement unique.
80 artisans sont attendus pour cet évènement qui s'agrémentera encore d'un concert unique, une première mondiale pour Octobasse, alto et violon dans la Halle aux Oliviers le samedi après midi.
Durant le salon de nombreuses démonstrations et concerts se dérouleront au Club.
 

La SABAM remet ses prix

La première édition francophone des SABAM AWARDS se déroulera au Manège de Mons, le vendredi 21 novembre à 20h30.
A cette occasion, 15 prix d’une valeur de 2.000 euros chacun seront décernés à des auteurs membres de la SABAM qui se sont distingués durant les deux dernières années, dans les différentes disciplines artistiques qui composent son répertoire : la musique,  l’audiovisuel, les arts plastiques, les arts de la scène et la littérature.

Cette soirée festive sera émaillée de prestations artistiques.

Dans chaque discipline, un jury externe a établi la sélection des nominés dont voici la liste :

Musiques Urbaines
Mochélan
Pitcho
Scylla
Veence Hanao  

Musiques du Monde
Didier Laloy & Tuur Florizoone
Fredy Massamba
Klezmic Zirkus
La Chiva Gantiva

Rock/Pop/Folk
BRNS
Castles
Girls In Hawaii
Mountain Bike  

Chanson Française
Antoine Chance
Carl et les Hommes Boîtes
Dalton Télégramme
Saule

Musiques Electroniques
Compuphonic
GoldFFinch
Squeaky Lobster
The Magician  

Musique Contemporaine
Claude Ledoux
HaoFu Zhang
Jean-Pierre Deleuze
Virginie Viel

Chanson/ Single
Antoine Chance "Fou"
Compuphonic "Sunset"
Saule "Dusty Men" (feat. Charlie Winston)
Stromae "Papaoutai"  

Musiques de Film
Charlotte Maison & David Baboulis pour "Puppy Love" de Delphine Lehericey
Hughes Maréchal pour "Quand je serai dictateur" de Yaël André
Michaël De Zanet, Renaud Mayeur et François Petit pour "Mobile Home" de François Pirot
Quiet Stars pour "Tomorrow" de Martine Doyen

Meilleur Court-Métrage
"Chambre Double" de Mathieu Mortelmans (fiction)
"Grace" de Joëlle Keyaert (fiction)
"La Dernière Séance" de Gaëtan Leboutte (documentaire)
Les Gens du Fleuve" de Xavier Istasse (documentaire)  

Littérature
Japon : Miscellanées" de Chantal Deltenre
"L'oeuvre de Caïn" de Philippe Remy-Wilquin
"Momo Bouche d'Or" de Sylvain Fahri
"Voyage Corsaire" de Guiseppe Santoliquido"

Illustrations (toutes catégories)
Benoît Drousie
Christian Darasse
Gregorz Rosinski
Laurent Liénard  

Arts Visuels
Angel Vergara
Ann Veronica Janssens
Lionel Esteve
Lucia Bru

Arts de la Scène : Auteur
Mochélan pour "Nés Poumon Noir"
Denis Mpunga pour "Haute Pression"
Agnès Limbos pour "Vanitas Vanitatum"
Eléonore Valère Lachky pour "Whirling!"  

Arts de la Scène : Compositeur
Maxime Bodson pour "Clear Tears Troubled Waters"
Rémy Delmond pour "Nés Poumon Noir"
Jean-Pierre Urbano pour "Alaska"
Laurent Beumier pour "Huit Femmes"

Prix du public : meilleur humoriste
André Lamy/Frederic Dubus - "Le Retour du Music Hall"
André Remy - "Sois Belge et tais toi!"
Angel Ramos Sanchez - "Voulez-vous coachez avec moi?"
Bernard Lefrancq/Angélique Leleux/David Michels - "La Revue 2013"
Bruno Coppens - "Trac!"
Claude Raucy - "Un Salaud Ordinaire"
Dan Gagnon - "L'Excellent spectacle de Dan Gagnon"
François Pirette - "C'était trop 30 ans"
Gisèle Mariette - "Just Mariette"
Jos Houben - "L'Art du Rire"
Laurence Bibot - "Bibot debout!"
Marc Andreini - "Come on 40"
Marc Herman - "Pas d's'13 en 2013"
Pierre Mathues - "Gourou Coucou"
Richard Ruben/Sam Touzani/Arnaud Bourgis - "Peur de Rien"
Sandra Zidani - "Retour en Algérie"
Taloche - "Spectacle 20 ans"
Véronique Gallo - "Tout doit sortir!"

Depuis 2013, les SABAM AWARDS sont décernés en alternance dans les deux communautés de notre pays. 
La première édition néerlandophone s’est tenue l’année passée à Anvers. Par l’organisation des SABAM AWARDS, la SABAM souhaite mettre en valeur les créations de ses auteurs et souligner le rôle essentiel qu’elle tient dans la culture: assurer leur rémunération pour leur permettre de continuer à créer.
Pour rappel, la SABAM a réparti 105 million d’euros aux auteurs en 2013.


À propos de la SABAM:

La SABAM a été fondée en 1922 par des auteurs, pour des auteurs. Société privée, la SABAM perçoit, gère et répartit les droits d’auteur revenant aux auteurs. Elle est l’interface entre le créateur et l’utilisateur des oeuvres. La SABAM garantit aux auteurs une juste rémunération pour l’utilisation de leurs oeuvres en dehors du cercle familial.
En tant que société culturelle la plus importante de Belgique, elle représente 39.000 auteurs et plus de 4 millions de créations. La SABAM joue un rôle actif dans la diffusion de la culture en Belgique et à l’étranger, par le soutien qu’elle apporte aux auteurs et par le réseau qu’elle met à disposition.

La SABAM représente le répertoire musical tant belge qu’international. Pluridisciplinaire, la SABAM se compose de paroliers, compositeurs, éditeurs, auteurs dramatiques, chorégraphes, réalisateurs, scénaristes, dialoguistes, créateurs radiophoniques, auteurs de sous-titres, traducteurs, romanciers, poètes, auteurs de bande dessinée, illustrateurs, journalistes, sculpteurs, peintres, vidéastes, dessinateurs, photographes, graphistes…

lundi 3 novembre 2014

Liège : photos et peintures la galerie Yoko Uhoda

Liège, actualités de la Yoko Uhoda Gallery

Exposition Vois là... : Luc Vaiser (photographe)
07/11 > 07/12/2014

Vois là ... invite à la découverte de l'univers et du travail photographique de Luc Vaiser à travers trois thèmes : les natures mortes, les fleurs et les choses. L'exposition se veut audacieuse tant dans le choix des sujets que dans leur présentation où différents formats s'alternent afin de créer une rupture d'échelle et un changement de rythme. Les clichés présents sont notamment le fruit d'une expérimentation et d'un questionnement sur la frontière entre le registre pictural et photographique. Oscillant entre figuration et abstraction, ses images transpirent de poésie, de sensualité et de légèreté. Leur aspect minimaliste couplé à l'intensité et la pureté des couleurs produit un véritable choc visuel pour le plus grand plaisir du regard.


Exposition Charlotte Beaudry : Pussy Bow
12/12/2014 > 11/01/2015

La pratique artistique de Charlotte Beaudry s'articule autour de la peinture et du dessin, bien qu'elle réalise par ailleurs des vidéos, des performances ou des sculptures. Son travail interroge avant tout les rapports entre la féminité et sa représentation, confrontant l'expérience intime à des contextes sociétaux ou médiatiques. À une large période consacrée à la figure et à la corporalité de l'adolescente succède aujourd'hui une iconographie étendue aux objets ou attributs féminins (parures, ornements, accessoires) dont l'artiste éprouve le potentiel métaphorique ou symbolique.Entre petits formats - adaptés à la finesse des détails - et toiles plus monumentales révélant de surprenants changements d'échelle, Charlotte Beaudry stimule le regard du spectateur dans un parcours contrasté comptant une trentaine d'oeuvres, exaltant à la fois la matérialité de la peinture et le caractère insidieux de son imagerie. Donnant son titre à l'exposition, la récente série "Pussy bow" présente d'énormes noeuds colorés explosant littéralement sur la toile.Ce terme sibyllin, désignant une pièce de tissu nouée au col d'un chemisier féminin, peut pourtant se révéler équivoque. L'artiste semble s'en amuser en rehaussant ses grands noeuds d'une ambiguïté manifeste. Née en 1968 à Huy en Belgique, Charlotte Beaudry vit et travaille à Bruxelles.


Jours et heures d'ouverture :
JEU > SAM - 12:00 > 18:00  DIM - 10:00 > 14:00
Ou sur rendez-vous

Lieu : 25, rue Forgeur, Liège
www.Yoko-Uhoda-Gallery.com