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Alberto Giacometti © Photo Emmy Andriesse © succession Alberto Giacometti SABAM2020 |
L'humanité absolue
Sculptures et estampes
Exposition prolongée jusqu'au 14 février 2021
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L’exposition
«Alberto Giacometti - l’Humanité absolue», initialement programmée du
17 octobre 2020 au 17 janvier 2021 à La Cité Miroir a pu être prolongée jusqu’au 14 février 2021 suite à un accord trouvé avec la Fondation Giacometti à Paris.
La prolongation, une excellente nouvelle !
L’exposition avait dû fermer ses portes durant un mois (du 29 octobre au 1er décembre) en raison de la crise covid. Depuis
la réouverture, des mesures ont été mises en place pour accueillir les
visiteurs dans les meilleures conditions sanitaires : réservations
obligatoires des tickets et des heures de visite, jauge limitée par
demi-heure, port du masque obligatoire, vestiaires non accessibles, gel
hydroalcoolique à disposition.
Ces mesures n’ont pas freiné le public : près de 10 000 personnes
sont déjà venues admirer les sculptures et lithographies signées
Giacometti. Durant les vacances d’hiver, les créneaux horaires
affichaient «complet» en grande majorité. Mais bien sûr, la capacité
d’accueil avait été revue à la baisse.
| Alberto Giacometti © Photography Pierre-Yves Jortay © Cité Miroir |
Alberto
Giacometti - l’Humanité absolue est l’une des premières expositions
monographiques d’ampleur de l’artiste en Belgique. Dans une scénographie
en harmonie avec l’architecture singulière de La Cité Miroir,
l’installation comprend 35 chefs-d’œuvre en bronze de la collection de
la Fondation Giacometti et d’exceptionnelles lithographies issues de
l’ouvrage mythique de Giacometti, Paris sans fin.
Comment
« faire une tête » ? Comment représenter un corps, une silhouette ?
Voici ce qui anime Giacometti au cours de quelque trente années de
création. Plaçant l’homme au centre de ses recherches, il travaille
inlassablement sur la figure humaine, notamment sur les motifs de la
figure féminine, de la tête et du buste.
La
sélection d’œuvres, s’étendant sur une trentaine d’années, propose une
lecture du travail d’après-guerre de l’artiste le replaçant dans un
contexte historique marqué par la philosophie existentialiste de
Jean-Paul Sartre. Giacometti fait sa connaissance en 1941 et le
fréquente assidument après-guerre : une rencontre entre deux hommes
attachés de manière absolue à la liberté. | | | | |
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