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dimanche 4 décembre 2022

A Liège, les collections d'art de la famille Rothschild

 
 Paul Cézanne (Aix-en-Provence, 1839-1906) Les Baigneurs, 1890 Huile sur toile, 43 x 53 cm Collection particulière 
© 2022, Gérald Micheels

Jusqu'au 26 février 2023, le musée de La Boverie présente l’exposition “Collectionneuses Rothschild. Mécènes et donatrices d’exception”. 

Conçue en partenariat avec le musée du Louvre, elle emmène le visiteur dans l’univers de la famille Rothschild, et plus particulièrement dans les collections de certaines femmes de la branche familiale française. Renouvelant un partenariat initié en 2016 avec le musée du Louvre (En plein air en 2016 et Viva Roma! en 2018), La Boverie inaugure avec cette exposition la thématique 2022-2023 sur les collections.
 
Depuis le 19e siècle, la famille Rothschild est légendaire dans l’histoire de nos sociétés. Cette dynastie est devenue au fil du temps synonyme de réussite dans le monde de la finance, mais aussi de richesse intellectuelle et artistique. Un nom incontournable, connu de tous. Pourtant, derrière ce nom de famille se cache des personnalités méconnues et un patrimoine insoupçonné. Proposant un point de vue inédit, cette exposition mettra en lumière des femmes de la famille à la personnalité singulière.

Portrait de Charlotte de Rothschild
Ary Scheffer (Dordrecht, 1795 – Argenteuil, 1858) Portrait de la baronne Nathaniel de Rothschild
Huile sur toile, 93,5 x 128 cm Collection particulière © 2022, Gaëlle Deleflie
 

Ignorées par l’histoire de l’art, ces femmes ont été des collectionneuses, bâtisseuses, mécènes et héritières, qui ont contribué d’une manière significative à l’enrichissement du patrimoine historique et des collections des musées français par leurs dons et legs considérables. Sur un parcours de plus de 2 000 m², l’exposition retracera le goût et la personnalité de neuf femmes d’exception. Parfois très indépendantes, parfois dans l’ombre de leur mari, elles ont joué un rôle important dans l’histoire de l’art, l’histoire, la société et même dans la vie des artistes de leur époque.
 

Maître de la nativité de Castello
Maitre de la Nativité de Castello La Vierge et l’Enfant au chardonneret, vers 1455-1460 Tempera sur bois, 80 x 51 cm Paris, musée du Louvre (inv. RF 1264)
© 2019 RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / René-Gabriel Ojeda
 

À travers une sélection de plus de 350 œuvres issues d’une quarantaine d’institutions et de collections privées françaises, l’exposition proposera un parcours constitué d’œuvres de toutes époques et tous horizons. Le visiteur rencontrera de grands artistes, tels que Fragonard, Chardin, Delacroix, Cézanne, Claudel, Rodin, Egon Schiele, Calder, mais aussi des tableaux de la Renaissance italienne, des collections de bijoux et de porcelaines, ou encore des objets d’art africain et d’Extrême-Orient. Autant d’œuvres d’art qui témoignent de l’histoire du goût et du collectionnisme au fil des 19e et 20e siècles.

lundi 19 octobre 2020

A Liège, le pape du Pop Art, Andy Warhol, exposé à la Boverie

 

 



 A Liège, le Musée de La Boverie accueille le pape du Pop Art, Andy Warhol.

Renouvelant la collaboration du musée avec l’agence Tempora, cette exposition parcourt de manière originale quatre décennies de l’œuvre de Warhol et donne à voir l’étendue de son talent. À travers une œuvre foisonnante, plus que jamais pertinente aujourd’hui, l’exposition se veut aussi le portrait d’une Amérique dont Warhol a su capter l’âme comme nul autre de ses contemporains.


"Warhol. The American Dream Factory" revisite la vie et la carrière de l’un des artistes les plus influents du XXe siècle. Artiste emblématique, Warhol efface sciemment le clivage entre culture élitiste et populaire. À travers le prisme de son regard ironique se lit une fresque où se mêlent mutations sociales et politiques, nouvelles habitudes de consommation, puissance émergente de l’image et de la « société du spectacle ». 

Parcourant 40 ans de création, l’exposition commence par les débuts de Warhol en tant qu’illustrateur publicitaire, quand il s’installe à New York en 1949. Les années 50, grâce à la diversité de ses commanditaires, le verront explorer une grande variété de techniques et de supports dans une créativité sans limites. Devenu peintre, Warhol raconte les sixties, décennie révolutionnaire qui voit l’apogée de la société de consommation. Ses œuvres sont construites sur le principe de la sérialisation des images et de la production de masse. C’est à cette époque qu’il ouvre sa Factory, à la fois atelier, lieu de rencontres et studio de tournage où il réalise ses films. Le 3 juin 1968, il est blessé par balle d’un coup de revolver, événement qui marque un tournant dans sa carrière. Il renouvelle alors son entourage et se met à fréquenter davantage le beau monde. Ressuscitant un genre considéré désuet, il réalise de très nombreux portraits de célébrités. Il opère une rationalisation du fonctionnement de la Factory, qui s’appelle désormais The Office : véritable business dont les différents départements gèrent les imprimés, la création de peintures, la production de films, le magazine Interview et les commandes plus commerciales. Au sommet de sa gloire dans les années 80, Warhol est devenu une icône de la scène artistique, jusqu’à la caricature. Il se confond avec sa propre image publique et devient même un objet publicitaire. Toujours en phase de l’air du temps, il produit sa propre émission télévisée. Il profite aussi de son immense notoriété pour promouvoir les artistes qu’il admire, tels Basquiat, Haring ou Clemente. Il meurt en 1987 à la suite d’une banale intervention chirurgicale.

Cette exposition exceptionnelle donne à voir les œuvres les plus célèbres de Warhol, prêtées par des amis intimes et collaborateurs fidèles de l’artiste. Ainsi les prêts en provenance du Andy Warhol Museum et d’autres institutions muséales se partagent la vedette avec des pièces de la prestigieuse collection de « Baby » Jane Holzer, actrice, modèle et muse de la Factory, et de celle de la mythique galerie Sonnabend, qui représente Warhol à Paris et New York dès les années 1960. L’exposition permet aussi de découvrir la collection de Paul Maréchal, exceptionnelle par sa

richesse et son originalité. Elle donne à voir un aperçu de l’incroyable diversité créatrice de Warhol : dessins, peintures, films, imprimés, magazines, pochettes de disques, couvertures de livres – de très nombreux travaux inédits ou très peu montrés.
 L’approche scénographique, une marque de fabrique de l’agence Tempora, nous plonge dans l’univers de la Factory à travers un parcours ponctué de son, d’images et d’objets. L’exposition propose une présentation résolument contemporaine, inspirée de l’esprit du maître du Pop Art. Elle nous fait revivre l’Amérique de Warhol au long d’un voyage à travers le temps évoquant les grandes transformations politiques et sociales de l’époque. 

Spécialiste belge de la conception, réalisation et gestion d’expositions, l’agence Tempora n’en est pas à son coup d’essai à la Boverie et travaille depuis plusieurs années en partenariat étroit avec la Ville de Liège et l’asbl Demeter. Ensemble, ils ont produit en 2016 l’exposition 21 rue La Boétie en collaboration avec Anne Sinclair, et, en 2019, l’exposition Hyperrealism Sculpture.  Ceci n’est pas un corps, qui a rencontré un grand succès public et critique. Avec Warhol, Tempora et La Boverie démontrent à nouveau l’importance de situer l’œuvre d’un artiste dans l’Histoire.

Dans le cadre de l’exposition, sous la coordination des musées de Liège, une série d’événements organisés par des opérateurs culturels liégeois sont programmés. 

PROLONGATION 

"Pour répondre à la forte demande des visiteurs, qui expriment plus que jamais le besoin de se reconnecter à la culture et de s’évader à travers l’art, les organisateurs offrent plus de temps pour découvrir cette exposition « qui permet de se faire une excellente idée de l’œuvre de cet artiste majeur ayant su capter, comme nul autre de ses contemporains, le rêve américain». Durant 7 semaines supplémentaires, afin de rendre la visite encore plus agréable, les horaires sont élargis : du jeudi au samedi jusque 19h30 et exceptionnellement les lundis 15 février, 5 avril et 12 avril de 9h30 à 18h. Toutes les mesures sanitaires sont évidemment de rigueur : nombre de visiteurs, sens de circulation, gel disponible et port du masque obligatoire. Par ailleurs, il est désormais indispensable de réserver sa visite sur le site. Petit conseil : favoriser une visite en semaine dans la mesure du possible."

Le calendrier des événements du « Festival Warhol » est accessible sur les sites internet de La Boverie et de l’exposition.

samedi 1 février 2020

Nus au Musée de la Boverie

L'agence Tempora et l’agence de communication Movietown ont organisé ce mercredi 29 janvier 2020 la première visite nue ouverte au grand public au musée de La Boverie à Liège. Plus de 300 visiteurs nus ont répondu à l’appel, des associations de naturistes, mais également monsieur et madame tout le monde. Les visiteurs sont venus nombreux de Wallonie et de Flandre mais aussi des quatre coins de la France et des Pays-Bas. « Bluffant, surprenant, émouvant » les réactions des participants fusaient ce mercredi soir dans les couloirs du musée de la Boverie. L’exposition « Hyperréalisme Sculpture, Ceci n’est pas un corps », organisée par l'agence Tempora, est comme l’indique son titre, centrée sur la représentation du corps sous toutes ses formes. L’exposition est ouverte jusqu’au 3 mai 2020

 En collaboration avec la Fédération Belge Naturisme. 

Photo Diana Vos

mercredi 31 mai 2017

A Liège, art et médecine

À l'occasion de ses trente ans d'exitence, le C.H.U de Liège s'invite du
21 juin au 17 septembre 2017 au musée de La Boverie pour une grande
exposition événement. Intitulée « La Leçon d'Anatomie. 500 ans
d'histoire de la médecine », l'exposition est articulée autour de quatre
grands axes et présente un ensemble unique de plus de 120 oeuvres où Art
ancien et Art contemporain, mêlés, montrent bien la variété de nos
attitudes devant les fragilités de notre condition. Cabinet de
curiosités, installations d'art actuel, oeuvres anciennes, art abstrait
et imageries médicales s'entrecroisent pour former un tout cohérent et
surprenant qui offre une réflexion sur la pratique médicale.

jeudi 23 février 2017

A Liège, la Boverie et la BD

Du 17 mars au 15 juin 2017

La Boverie, à Liège, présente "Révolution bande dessinée"

Hugo_Pratt - Carto_Maltese-
La_Maison_doree_de_Samarkand
(c)2017_Cong SA
A Liège, le musée de la Boverie consacrera sa prochaine exposition internationale à la « Révolution bande dessinée ». Elle se tiendra du 17 mars au 15 juin 2017 et est organisée en partenariat avec le Fonds Hélène & Edouard Leclerc pour la Culture.

À travers un parcours de plus de 300 planches originales de dessinateurs français, belges et internationaux, l'exposition « Révolution bande dessinée » présente deux revues majeures, Métal Hurlant et (A SUIVRE), ayant bouleversé le Neuvième Art, depuis le milieu des années 70 jusqu'à la fin des années 90.
Avec quelques grands noms de la bande dessinée tels que Pratt, Tardi, Comès, Druillet, Bilal, Margerin, Forest, Sokal, Schuiten, Baru...

A l'initiative de la Ville de Liège et de Michel-Edouard Leclerc, collectionneur passionné de bande dessinée, président du Fonds Hélène & Edouard Leclerc pour la Culture, et sous la conduite de Jean-Baptiste Barbier, expert en bande dessinée, son commissaire, l'exposition retrace une période décisive de l'histoire de la bande dessinée franco-belge.
Une période qui couvre pratiquement les 25 dernières années du 20e siècle, et où, grâce à des auteurs talentueux, la bande dessinée s'ouvre à un public nouveau, essentiellement par l'existence de ces deux revues, Métal Hurlant et (A SUIVRE). L'exposition présente un ensemble d'environ 320 planches originales des magazines Métal Hurlant et (A SUIVRE). Le commissariat artistique a été´ confié à Jean-Baptiste Barbier, directeur associé de la galerie Barbier & Mathon à Paris spécialisé dans la bande dessinée.

Le principe scénographique a été´ imaginé par Éric Morin, et propose de mettre en vis-à-vis l'histoire des deux magazines. Cette présentation chronologique s'étend de 1975 à 1997, elle est divisée en 13 sections. Un ensemble d'entretiens présenté sous forme de projections audiovisuelles articule le parcours et est associé dans l'espace aux différentes sections. Les oeuvres présentées concernent des auteurs comme Gal, Juillard, Margerin, Munoz, Gillon, Chaland, Sokal, Forest, Clerc, Manara, Comès, Boucq, Servais,... D'autre part, l'exposition offre un focus particulier sur les auteurs phares de l'époque : Moebius, Druillet, Schuiten, Tardi, Pratt...

Le parcours de l'exposition propose également en introduction une importante sélection effectuée dans la riche collection de planches originales des Musées de Liège. On y découvrira notamment des planches des albums mythiques « On a marché sur la lune » (Hergé), « La Marque jaune » (E.-P. Jacobs), « Le tombeau étrusque » (Alix, de Jacques Martin), « Le Chinois à deux roues » (Gil Jourdan, de Tillieux), de Gaston Lagaffe (Franquin), Tif et Tondu (Will), Lucky Luke (Morris), Chlorophylle (Raymond Macherot), Michel Vaillant (Jean Graton), ou encore Comanche (Hermann).

lundi 24 octobre 2016

A Liège et Bruxelles, images sonores et musique mixte

Du 2 au 14 décembre 2016, le Centre Henri Pousseur présentera la 18e édition de son festival IMAGES SONORES, dédié à la musique mixte. Cinq concerts de création à Liège et à Bruxelles permettront de se plonger dans cet univers sonore, où les instruments acoustiques dialoguent avec les sons électroniques diffusés par des haut-parleurs.


Le festival IMAGES SONORES est le moment par excellence pour découvrir la scène belge et internationale de la musique contemporaine mixte, ses interprètes et ses compositeurs. Les quatre premiers concerts auront lieu à Liège, et pour la première fois le concert final se tiendra à Bruxelles.

L’ouverture le 2 décembre, à la Monos Art Gallery met les pleins feux sur la guitare électrique avec un concert gratuit qui verra le Centre Henri Pousseur et le guitariste Hughes Kolp présenter un éventail de pièces d’esthétiques et de conceptions variées, où musique écrite flirte avec poésie sonore et référence rock.

Le 8 décembre, le Musée de la Boverie accueillera un ensemble du Conservatoire royal de Liège, qui jouera le vidéo-opéra An Index of Metals, la dernière œuvre mythique de Fausto Romitelli (IT). C’est une véritable orgie de sons et de lumières, semblable à une expérience de plongée en eau profonde, de perception totale. En première partie seront interprétées trois créations combinant musique et vidéo, écrites par des étudiants de la classe de composition du Conservatoire royal de Liège.

Rendez-vous ensuite au Théâtre de Liège pour les deux concerts suivants. Le 10 décembre, un quatuor de formation très originale (percussion, guitare électrique, sax et contrebasse) interprétera quatre œuvres récentes aux univers extrêmement diversifiés : extase totale combinant free-jazz et hard-core chez Alexander Schubert (AT), performance avec tubes fluorescents chez Simon Løffler (DK), recherches sonores obscures chez Andrea Mancianti (IT), univers bruitiste et prolongé chez Kasper Toeplitz (PL).

Le concert du 11 décembre, à la fois intime et révélateur, proposera trois créations mondiales : une pour percussion solo de Kasper Toeplitz et deux pour percussion et guitare électrique des compositeurs italiens Davide Ianni et Andrea Mancianti. Benjamin Glorieux présentera également deux créations belges pour violoncelle et électronique, de Sebastian Rivas (FR) et de Sabrina Schroeder (CA). Ce concert se terminera par un hommage à Luc Brewaeys, le célèbre compositeur belge décédé en décembre 2015, avec l’interprétation de son œuvre Again.

En fin, le 14 décembre, la clôture de cette édition 2016 se déroulera pour la première fois à Bruxelles, au Studio 1 de Flagey. Ce dernier concert reprendra le programme des concerts au Théâtre de Liège, à l’exception de l’œuvre de Luc Brewaeys.

Le Centre Henri Pousseur (anciennement « Centre de Recherches et de Formation musicales de Wallonie ») a été fondé en 1970 à l’initiative d’Henri Pousseur et de Pierre Bartholomée. Il a joué un rôle de pionnier dans la réalisation et la diffusion d’œuvres de musique électronique et, en particulier, de musique mixte. Le Centre Henri Pousseur accueille des projets d’artistes de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ainsi que des autres régions du pays et de l’étranger.

mercredi 20 avril 2016

A Liège, inauguration du musée La Boverie

La Boverie expose "en plein air"

Exposition du 5 mai au 15 août 2016

Photo  © Rudy Ricciotti - Bureau PHD © Mark Verpoorten © Ville de Liège
 
Evènement culturel et artistique majeur pour Liège et la Wallonie ! Ce mercredi 4 mai prochain, la ville de Liège et l'asbl "CIAC" (Centre international d'art et de culture) procéderont à l'inauguration du musée "La Boverie" et dans la foulée, de sa première exposition intitulée "En plein air" (organisée en collaboration avec le musée du Louvre).
 
© Rudy Ricciotti - Bureau PHD © Ville de Liège

 
Dès le lendemain, le public sera convié à découvrir les installations architecturales du musée et cette exposition née des collections du Louvre, du musée des Beaux-Arts de Liège, d'institutions internationales telles le musée du Prado, le musée de l'Orangerie, le musée de Dallas...
 
« En plein air » propose une réflexion sur la relation de l’homme à son environnement, relation qui a profondément changé entre le 18e et le 20e siècle.
 
Conçue comme une expérience unique et nouvelle pour le visiteur, elle se développera autour de la représentation picturale des loisirs en extérieur.
 
Ces loisirs, d’abord pro-menades dans des parcs urbains, vont bientôt conquérir les bords de rivière et les bords de mer : Renoir, Manet, Monet, Evenepoel et d’autres ont peint « sur le motif » ces scènes joyeuses ou contemplatives.
 
 
 
 
Une centaines d’œuvres, du XVIIIe au XXe siècle, dont environ septante venant de l’étranger, raconteront l’invention de nouveaux rapports entre l’homme et la nature.